Les obséques de la lione
« Les obsèques de la lionne »
Jean de la Fontaine a écrit en 1678-1679, dans son recueille Les fables, « Les obsèques de la lionne » . Écrit a l'époque de louis IV, les fables de La Fontaine sont un moyen de critiquer de façons détournée les mœurs de la société. Cette fable parle de l'enterrement de la femme du roi Lion qui permet a La Fontaine de critiquer différents aspects de la société du 17éme siècle. De quelle manière La Fontaine accuse-t-il la monarchie ? Dans un premier temps il s'agira de montré l'aspect rebelle du cerf avant de voir en quoi cette critique du totalitarisme est-elle marquante.
Figure rebelle du cerf L'affrontement Roi/Cerf confrontation du discourt du roi et du cerf, chaque partie du discourt du roi et reprit dans le sens opposé dans le mensonge du cerf: « Chétif hôte des bois » opposée a « ami » « Tu ris, tu ne suis pas » opposée a « ne t'oblige à des larmes » « Nous n'appliquerons point sur tes membres profanes Nos sacrés ongles » opposition au fait que le cerf soit considéré comme un saint car il a pu voir la défunte « Vengez la Reine » opposée a « J'y prends plaisir. »qui est aussi une marque d'humour « immolez tous ce traître à ses augustes mânes » opposée a « Le Cerf eut un présent, bien loin d'être puni. » le cerf et a l'opposer du lion comme le montre l'antithèse « membres profanes » / « nos sacrés ongles »
La psychologie du personnages
Le cerf un personnage en opposition avec la cour avec le lexique du désespoir toujours compléter de la négation: « le temps de pleurs est passé », « la douleur est ici superflue », « ne t'oblige à des larmes », « ne pleura point », « ne suis pas ces gémissantes voix » qui marque la volonté du cerf d'être diffèrent insistance avec l'anaphore L.25-28 « Le Cerf ne pleura point [...] Bref il ne pleura point »
Critique virulente du totalitarisme