LES SECRETS INAVOUABLES DE NOS TÉLÉPHONES PORTABLES
LES SECRETS INAVOUABLES DE NOS TÉLÉPHONES PORTABLES
Aujourd’hui sur la planète, il y a plus de téléphones portables que de brosses à dents. Il se vend 57 mobiles chaque seconde dans le monde. Cash Investigation a enquêté pendant 1 an sur ce qui se passé dans les usines et sur la fabrication nos téléphones.
Ils ont enquêté sur les marques : Samsung, Apple, Huawei ou encore Sony dont la réussite économique est insolente. Les reporters se sont notamment rendus en caméra cachée dans une usine chinoise, l'un d'eux a ainsi pu filmer les conditions de travail des salariés, dont près de la moitié a moins de 16 ans comme Djadja. Les enfants se retrouvent à travailler treize heures par jour, quand ce n'est pas la nuit, pour cent-soixante euros par mois alors que c’est interdit par la loi internationale du travail. Dans l’entreprise Huawei , Les ouvriers chinois touche en moyennes 2,38€ par téléphone, alors que nous les payons jusqu’à 900 €.Les ouvriers de l’entreprise ont tous un matricule, un ouvrier chinois a même dit qu’il devait vérifier 6000 écrans de téléphone par jour en travaillant 10h ceux qui fait 5 écrans à vérifier toutes les 30 secondes et pour cela ils étaient payés 70 centimes de l’heure. L’usine chinoise promet aux ouvriers chinois un vaste appartement mais à la place un dortoir d’une vingtaine de mètres carré où 8 ouvriers s’entassent tout le long de l’année. L’entreprise emploie des jeunes enfants comme Djadja qui a 13 ans, elle nettoie les écrans et doit en faire 100 par heure, travail 13 heures par jour, travail de nuit un mois sur deux et elle a un jour de congé toutes les deux semaines pour gagner que 160 € par mois.
En République démocratique du Congo, il y a ceux qui extraient le tantale, minerai qui entre dans la composition des téléphones, un sac de tantale est revendue 600 € et 3500€