Les villes tentaculaires emile verharen les usines

1161 mots 5 pages
Introduction I. Un univers citadin et industriel 1. Un univers urbain •Le titre du recueil : « villes tentaculaires », •Le champ lexical de la ville (# nature) : répétition de « faubourgs » (v. 5 et 6) et « banlieues » (v.10 et 15) ; « trottoirs (v.27) ; carrefours (v.23) ; grand’rue (v.18) ; canal (v.3) ; quais (v.4) ; squares (v.20) », Cet univers urbain est constitué d’éléments industriels. 2. Les éléments industriels •Le champ lexical des constructions industrielles (au pluriel) : le titre du poème, « les usines » ; la répétition de « usines et fabriques » (v.7 et 17), •Nombreux éléments extérieurs (au pluriel) : le titre du poème, « les usines » ; la répétition de « usines et fabriques » (v.7 et 17), •Les nombreux éléments extérieurs (au pluriel) : « fenêtre (v.1) ; murs (v.9) ; toits (v.11) ; fers, paratonnerres (v.12) ; cheminées (v.13) », •Un univers géométrique (cf. symétrie) : modernité // peinture cubiste : « se mirant (v.2) ; face à face (v.4) ; rectangle, cubes (v.8) ; symétriques (v.14) », •Les matériaux de construction : « fers (v.12) ; rouillés (v.18) ; poix (v.2) ; granit, briques (v.8) », •Les éléments chimiques et les métaux : « fers (v.12) ; poix, salpêtre (v.2) ; scories (v.21) ». Cet univers est un univers monotone animé de tristesse. II. Un univers monotone et triste 1. La monotonie •Des répétitions de termes : « banlieues ; usines ; fabriques » (voir ci-dessus) + la répétition de « faubourgs » (v.5 et 6) soulignée par l’emploi de l’adjectif « lourds » à la rime, donc accentué (v.5) ; l’assonance en [ou] renforce l’impression de lieux identiques et sans diversité, •La monotonie provient aussi du cadre général : idée d’immobilité avec les termes « eau ; canal ; quais » dans le première strophe (ici, pas d’évocation d’automobiles, de trains, etc., seulement des éléments statiques), •La monotonie est également accentuée par l’aspect symétrique (v.14) ; l’expression « face à face » (v.4) ; le

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