Quels sont les effets négatifs de la lumière bleu-violet sur le cerveau humain?Essaiprésenté àM. Luc Richerpar Jade BrulotteSCT 316-06École d’éducation internationale Vendredi 15 janvier 2021TABLE DES MATIÈRES1) Table des matières. p.ii.2) Introduction. p.1.3) Développement. p.2.3.1) La lumière bleu-violet. p.2.3.2) Les lunettes anti-lumière bleue p.4.4) Conclusion. p.6.5) ANNEXE I. p.7. 6) ANNEXE II. p.8.7) Bibliographie. p.9.iiINTRODUCTIONAvec l’apparition de la Covid-19, tous les lieux publics …afficher plus de contenu…

Après leurs journées remplies, plusieurs personnes continuent à passer leur temps sur leur téléphone, tablette, télévision, portable et plus, augmentant ainsi le temps d’exposition devant la lumière bleue. Il est démontré que celle-ci peut perturber le sommeil. La lumière bleue émise par les écrans inhibe la production de mélatonine, une hormone impliquée dans la synchronisation du cycle veille/sommeil et la régulation de nos rythmes biologiques. Les dérèglements de notre rythme circadien (l’alternance veille/sommeil) naturel, comme ceux vécus par les travailleurs de nuits, sont aussi associés à une plus forte prévalence de certains cancers[footnoteRef:3]. De plus, un manque de sommeil peut mener à un manque de concentration. Si c’est le cas dans des travaux ou des études, …afficher plus de contenu…

Premièrement, comme mentionné plus haut, les lunettes anti-lumière bleue contribuent à un meilleur sommeil en bloquant la lumière bleue qui crée souvent de l’insomnie. Considérant ceci, je peux assumer que l’utilisateur des lunettes bénéficiera des bienfaits du sommeil. Par exemple, dormir permet de booster son système immunitaire pour se défendre des agressions et petits microbes au quotidien mais également de prévenir des maladies potentiellement plus graves comme les maladies cardiovasculaires ou neurologiques. Les gens portant ces lunettes seront moins prônes à avoir des maladies contagieuses et leur entourage aura donc moins de chance de les l’attraper. De plus, en permettant au cœur de ralentir et donc de s’économiser, en permettant au cerveau de se nettoyer des déchets cellulaires dont l’accumulation favorise les pathologies