Les enfants dans la société du XIXème.Les enfants avant n’étaient pas considérés avant comme on les considère maintenant. De nos jours, les enfants sont des petits êtres fragiles et innocents, avant ils étaient plus vus comme des êtres inférieurs bons qu’à travailler et à aider dès lors qu’ils sont assez grands pour le faire, du travail le plus simple au travail le plus dangereux.Pendant des siècles, la plupart des enfants ont travaillé dès leur plus jeune âge. A la campagne, ils travaillent dans …afficher plus de contenu…

». Il souhaite également attirer l'attention du lecteur sur le fait que les enfants sont souvent dominés ; il utilise à plusieurs reprise l'adverbe "sous" : « sous la meule », « sous les dents ». Les enfants sont de véritables outils à production, ils sont employés par des adultes pour le profit « travaillé quinze heures sous les meules [...] de l’aube au soir ». L’enfant est donc une machine « qui produit la richesse en créant la misère ». Leurs conditions de travail sont totalement « infâmes ». Les enfants sont les véritables outils de production, ils sont employés par des adultes dans un but lucratif "pour travailler quinze heures sous le moulin [...] du matin au soir". Ainsi, les enfants sont des machines qui "produit de la richesse en créant la …afficher plus de contenu…

Les conditions de travail des mineurs dans le texte sont misérables et même terrifiantes : « il trottait pies nus derrière son train, lorsqu’il était sous terre ». il a remarqué que le bois qui retenait le tout était en train de céder : « il s’aperçut que les bois avaient fléchi sous le suintement continu d’une source ». Avant qu’il ne puisse réagir les fondations cèdent : « l’éboulement avait englouti l’homme et l’enfant ». Au moment de l’éboulement, on peut voir dans le texte une répétition : « Nom de dieux ! Nom de dieux