Les femmes et le secret - jean de la fontaine
Tout d’abord nous analyserons l’origine de cette rumeur ; puis nous observerons la propagation de ce secret. La fable débute avec une morale qui parle de la difficulté de gardé un secret. Cette morale est introduit par le premier vers ironique, c’est un présent de vérité générale « Rien ne pèse tant qu’un secret ». Le pronom indéfini « rien » et la présence du verbe « peser » nous fait comprendre que c’est un secret lourd à porter. Il y a une métaphore, suite au vers 1, entre le secret et un objet pesant. On le remarque grâce aux verbes « peser » et « porter » vers 1 et 2. Le poète prétend avoir déjà vécu le phénomène de la trahison, nous le devinons grâce au pronom personnel « je …afficher plus de contenu…
Qu’est-ce cela ? Quoi!» parodient la tragédie. Dans les vers 7 et 8, le mari fait une simulation d’accouchement de façon comique voire grotesque au vers 7 : « Je n’en puis plus ; on me déchire » sont deux hyperboles qui insistent sur la comédie du pondeur. Puis on remarque également une césure à l’hémistiche qui renforce l’idée de le douleur et de la comédie. Nous constatons que le mari rigole de la situation. Pourtant nous avons ici une femme très naïve et demande à son mari « D’un œuf ? » vers 8 qui montre qu’elle croit l’absurdité des paroles de son mari. Au vers 9, le mari prépare son mensonge : « frais et nouveau pondu » puis insiste sur le fait que le secret ne doit pas être répété en employant l’impératif : « gardez bien de le dire » vers 9, « n’en parlez pas » vers