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Les vassal de mon vassal

1571 mots 7 pages
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td commentaire-2Eliott Soutra, TD histoire vendredi 18h15

Sujet: Commentaire

« Le vassal de mon vassal n’est pas mon vassal ». C’est un célèbre adage qui, durant les
XIème et XIIème siècles a largement remis en cause l’ordre féodal et plus particulièrement la hiérarchie féodale. Cet adage, empêchant ainsi au roi d’avoir une autorité sur ses vavasseurs, a limité son pouvoir d’expansion et d’autorité. En effet, au alentour de l'an mille, la féodalité est désorganisée et l'éclatement …afficher plus de contenu…

B - Un acte de félonie à l’égard de son seigneur
-> « Philippe … t’a mandé, non une seule fois mais à plusieurs reprises, que tu fisses réparations »;
« Tu as promis mais tu n'as rien fait et même tu as accablé davantage les accablés. »; « Il l'a supporté plus d'un an, demandant et attendant satisfaction. »; « il t'avais fixé un certain terme pour comparaître en sa présence … tu ne t'es pas présenté au jour fixé »; « tu as complètement dédaigné son mandement. ».
=> innocent III insiste expressément sur le fait que Jean sans terre, malgré les nombreuses demande du roi, n’est s’est jamais présenté pour répondre de ses actes.
-> dans cette lettre, le pape innocent III fait l’éloge du roi Philipe Auguste en mettant en position …afficher plus de contenu…

=> Jean sans terre, vassal de Philippe Auguste, a violé son devoir de conseil en refusant de se présenter à la cour du seigneur.
=> Ainsi, Jean n’a pas respecté ses engagements découlant du contrat féodal passé entre lui et
Philippe Auguste. De ce fait, celui-ci devient félon et son seigneur peut alors proclamer la saisie de son fief, une mise sous séquestre qui donne au suzerain le droit d'en percevoir les fruits. C’est ce qu’a fait Philippe auguste en proclamant la commise des fiefs de jean sans terre. II- Une réaffirmation du pouvoir royal par l’apparition de nouvelle théorie Philipe Auguste va adresser des injonctions appelés mandement à l’égard de son vassal Jean, premier signe d’un renouveau législatif chez le roi (A), permettant, par la suite de changer

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