Lettre pour défendre la valeur didactique
Ils évoquent ici le cas d'hommes et de femmes mourant de faim
Dans un premier temps nous allons voir que c'est un discours engagée et dans un deuxieme temps que c'est une dénonciation violente de a misère sociale
Nous pouvons constatez que c'est un discours engagé car tout d'abord il y a l'implication de l'auteur « je » ; « moi » ; « m' » ; « je dis que ». Il utilise donc des anaphores et des répétitions.Victor Hugo implique ses interlocuteurs en disant « vous » ( l'assemblée national). Il s'adresse directement de façon explicite « vous ceci, vous cela », et interpelle directement quelqu'un « ! »A la ligne 32 « vous avez fait des lois contre l’anarchie, faite maintenant.. », il constate qu'ils n'ont rien fait jusqu'à maintenant pour lutter contre la misère, il utilise la forme négative. Il utilise l'impératif présent pour montrer la fin du discours, pour marquer les esprits.Il utilise aussi des procédés qui contribuent à la force persuasive du discours, comme la périphrase l.19 « force de l'âge », l’euphémisme « sans pain », l’antithèse « campagne » différent de la « ville »et l'accumulation du champ lexical de la vertu « bon paysan », « bon ouvriers ».
; autrement dit , une société ne peut vivre dans la stabilité tant quelle n'a pas vaincu la misère qui la créée ; c'est que signifie donc aussi : « l'esprit de révolution a pour auxiliaire la souffrance publique » ou encore « c'est l'anarchie qui ouvrre les abîmes, c'est la misère qui les creuses » et c 'est pourquoi Hugo termine son discours sur la supplique suivante : « vous avez fait des lois contre l'anarchie, faites maintenant des lois contre la misère ! Où l'on remarque la figure de style d'instance , le