Lettre a flaubert
A Saint - André
Cher maître , Gustave Flaubert
Je m'adresse à vous pour défendre l'art et surtout la littérature, plus précisément le roman qu'Émile Zola a écrit, « l'Assommoir », qui d'après vos écrits, vous n'appréciez guère.
Émile Zola cherche à représenter la réalité telle qu'elle est, le vrai coté de la vie et à ne pas faire de ses romans du pur mensonge. Cela serait bien plus agréable à lire en racontant de belles ou mêmes magnifiques histoires mais qui serait serte invraisemblables. J'aimerais me permettre de reprendre votre critique et de ne la reformuler à ma manière : « J'ai lu par hasard un fragment de l'Assommoir et je trouve cela formidable. Faire vrai est la première condition de l'art, approcher le réel et viser la vérité ». Ce qui est totalement juste.
Pot Bouille est l'un de ses romans où l'on peut voir le véritable aspect de cette qui est loin d'être belle, avec des inégalités par classe sociale. Une jeune domestique accouchant seule et dans la souffrance, qui abandonne son enfant en bas de son immeuble pour pouvoir continuer à travailler en temps sue « bétail » si puis – je dire, c'est une honte effroyable et pourtant Zola démontre ce qu'est la vie de personnes très pauvres. C'est bien sur une scène que l'on ne voudrai jamais voir mais qui est arrivée à plusieurs femmes.
Cet homme s'est beaucoup documenté et renseigné c'est pour cela qu'il connait toujours un succès phénoménal aujourd'hui. Je pense que lorsque les lecteurs lisent lisent ses textes, ils sont plongés dans des histoires intéressantes qui leurs apprennent la vie et son fonctionnement. Il décrit la vie de la classe ouvrière dans son roman de telle manière que l'on aperçoit qu'il y a un grand souci social, tout simplement, il se met dans la peau d'un syndicaliste.
Se sont des raisons comme celles – ci que vous n'aimez pas la littérature d'Émile Zola et apriori ce roman. Il dénonce la vie très dure que mène une population de façon véridique. Il