Libère-t-on trop vite les détenus ?
Les libérations conditionnelles sont souvent critiquées, et font polémique, comme celle par exemple à venir de Michelle Martin, l’ex compagne de Marc Dutrou. Pourtant c’est libérations sont accordée par des juges prudents et vigilants, dans des conditions très strictes. C’est le TAP : tribunal d’applications des peines, qui accorde c’est libérations. Libère t-on trop vite les détenus ou faut il obligé les détenus à aller jusqu’au bout de leur peine ?
Contrairement à ce que l’on pourrait croire ce n’est pas le détenu qui fait sa demande de libération conditionnelle. Au moment de la condamnation, c’est le greffier qui calcul la date d’admissibilité à la libération conditionnelle. Le tiers de la peine sera obligatoire pour les délinquants primaires et les deux tiers de la peine seront obligatoires pour les récidivistes. Dans les mois qui précède cette date d’admissibilité, le directeur de la prison reçoit le détenu et rédige un dossier et remet son avis au tribunal d’application des peines. La juré diction qui octroi la liberté conditionnelle est composé d’un juge, de deux assesseurs, d’un procureur du roi, et de la directrice de la prison. Pour avoir le maximum de chance d’être libéré le détenu doit constitué un dossier bien ficeler, il faut que le détenu prévoit des éléments convainquant et solide de réinsertion, un encadrement familiale et personnelle, une possibilité d’avoir des revenus ou de se former. À sa sortie de prison, le détenu doit respecter beaucoup de conditions, sous peines de retourner en prison si il ne les respecte pas. Un rapport psychologique, intervient également dans le jugement. Le TAP, par l’intermédiaire de la maison de justice suit le libéré et s’assure du respect des conditions et aide le détenu grâce à l’intervention d’une assistante social. De plus, la police reçoit un signalement de l’ex-détenu et le surveille de loin. Si il y a non-respect des consigne, le libéré est