L'ile des esclaves, marivaux
L’île des esclaves est une œuvre du XVIII plus précisément une pièce de théâtre qui rentre dans le registre de la comédie. Cette pièce peut être apparenter au mouvement né en italie avec des personnages typiques de la commedia dell’arte comme Arlequin. C’est une œuvre dont j’avais souvent entendu parler a travers mes connaissances. J’ai rapidement compris que c’était un classique de Marivaux.
J’ai d’abord pensé à l’histoire uniquement …afficher plus de contenu…
On ressent dans cet extrait la peur d’Iphicrate: il craint de perdre tous ces pouvoirs envers Arlequin et de devenir une personne banale, sans aucun prestige. Arlequin quand à lui est euphorique car il est libéré de la tutelle de son maitre et peut enfin faire ce que bon lui semble. Il exprime sa joie en chantant et même en narguant Iphicrate: « Ah ! je vous plains de tout mon cœur, cela est juste. » (l.31). On apprécie l’ironie de la part d’Arlequin , il est même arrogant et provocant. Il se croit maintenant égal, voir supérieur à …afficher plus de contenu…
Trivelin pour symboliser l’échange de roles donne l’épée d’Iphicrate à Arlequin. Il va encore en plus loin en échangeant les prénoms d’iphicrate et d’Arlequin. Cela enerve dans un premier temps iphicrate mais il n’a plus aucun pouvoir sur arlequin. Dans la scène
3 on rencontré cette fois ci l’esclave Cléanthis et Euphrosine, sa maitresse. Il existe un parallélisme avec la scène antérieur sauf que Cléanthis est beaucoup plus plus rancunière qu’Arlequin, elle se déchaîne en insultant sa maitresse. On voit une Cleanthis réellement blessée, et loin d'être prête à pardonner à sa maîtresse. A son tour on remarque l’autorité capitale de Trivelin sur l’espace qu’il dirige : sans lui l’ile ou les esclaves sont les maîtres n'éxisterait pas. J’ai