ÉTUDE CRITIQUE DE DOCUMENTS – L’impact des choix énergétiques sur les milieux (p. 390-391)Dans son rapport de 2015 centré sur les mesures à prendre pour éviter un réchauffement climatique global, le GIEC (Groupe d’Experts Intergouvernemental sur l’Évolution du Climat) préconise une baisse drastique des émissions de GES. Ce rapport montre bien la prise de conscience actuelle de la communauté internationale face à la crise environnementale en lien avec les activités des sociétés et les énergies employées.Ces …afficher plus de contenu…

Elle aurait donné un « avantage décisif » aux hommes sur les autres espèces animales. La seconde transition correspond à la Révolution néolithique qui se caractérise par la naissance de l’agriculture, la domestication animale, la sédentarisation des populations et l’apparition de sociétés complexes. La domestication animale constitue une nouvelle énergie qui augmente ainsi la puissance de travail et accompagne le développement des nouvelles activités liées à cette révolution. Indirectement, la domestication animale a donc eu un impact sur les milieux. En sélectionnant les animaux à domestiquer, l’homme a contribué à transformer physiquement certaines espèces animales et à réduire le nombre d’espèces sauvages. En favorisant l’extension …afficher plus de contenu…

Si ce dernier est bien plus grand et a vécu bien plus longtemps sur Terre que le premier, c’est bien l’homme qui a le plus fortement impacté son environnement, l’empreinte de pas laissée sur le sol symbolisant ici l’empreinte carbone. Cette empreinte carbone représente la quantité de GES induite par les activités humaines et leurs choix énergétiques. Des mesures ont été prises depuis quelques années afin de réduire cette emprunte carbone (protocole de Kyoto en 1992, accords de Paris sur le climat en 2015) et d’accompagner une transition énergétique basée sur les énergies