L'oued et le consul de jean ferrat
678 mots
3 pages
L’oued et le consul Le consul et sa femme, deux finlandais, partirent en voyage au Maroc, près de Marrakech. Ils décidèrent d’aller se promener en jeep, lorsqu’ils tombèrent devant un oued. Confient, le consul n’a pas hésité à le franchir mais il fut arrêté par des personnes avant de l’avoir traversé. Les personnes en question le déconseillèrent de continuer sans vraiment réussir à le dissuader. Le consul franchi quand même l’oued mais il fut bloqué par de l’eau. Il entendit un bruit assourdissant puis tourna la tête et vit une énorme vague d’eau mélangée à de la boue. Sans qu’il n’eût le temp de faire quoi que ce soit, la vague emporta le consul et sa femme qui se pensaient plus intelligent que les autres. Pour ma part, je pense que l’auteur dénonce le fait d’être outrecuidant. En effet, être outrecuidant désigne le fait de se sentir supérieur aux autres, ce qui concorde bien avec le consul. Comme lui et sa femme viennent de Finlande, ils se sentent supérieurs aux personnes les
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Cette nouvelle débute lorsque qu’un homme navigua sur l’Ouse, comme tout les dimanches disait-il. Pendant sa promenade, il rencontra un homme, et après une courte discussion il lui dit de rebrousser chemin car deux hommes se seraient pendus à un arbre. Intrigué, il continua son chemin jusqu’aux deux hommes et lorsqu’il fut arrivé, il resta devant eux pendant un certain moment. Après avoir regardé les deux hommes, la police arriva. Cependant, il aurait souhaité savoir pourquoi les hommes se seraient suicider. Alors il chercha la cause de leur mort, mais grâce à la discussion qu’il a eu avec Fiona, il comprit qu’ils c’étaient suicider à cause de la solitude, sur l’arbre ou leur chien était enterré. Cependant, tout le village disait qu’il avait l’air très heureux et qu’il n’avait pas de raison de se sentir seul. Cette nouvelle porte une morale significative sur la solitude. L’auteur nous explique à travers cette nouvelle, que même si nous