1. Introduction
Ne souffre pas beaucoup de la crise immobilière de 2008, LVMH maintient et même accélère son développement en Chine. La Chine est un marché idéal pour les marque de luxe, avec 12% des ventes mondiales de luxe, la Chine est déjà le 3e marché (derrière les Etats-Unis et le Japon) et surtout le premier en terme de croissance, faisant de son accession au trône de premier marché du luxe une simple question d’années. De 2008 à 2012, Louis Vuitton réalise une croissance de --- en Chine, par rapport à celle de --- au monde. Malgré les points positifs, Louis Vuitton facent toujour aux challenges en Chine : de plus en plus de concurrents, la consomation hors domestique, le changement de la motivation de consomation de luxe, etc. Afin de répondre à ces questions, il faut analyser son PESTEL, ses produits et son évolution en Chine, regarder la diversité des clientèles du luxe en Chine et leurs dynamiques d’évolution.

2. Analyse PESTEL du LV en Chine

L’analyse PESTEL permet d’étudier l’influence macro-environnementale d’une entreprise à travers 6 catégories : Politique, Economique, Socioculturel, Technologique, Environnemental et Législatif.
2.1 Politique
Les politiques économiques domestiques de la Chine (monétaire, budgétaire, tax) ont un impact bien au-delà de ses frontières. La douane impose actuellement une taxe ordinaire de 15 % à 25 % sur les produits de luxe importés. Elle peut même atteindre 50 % sur des produits cosmétiques et l'alcool. Par ailleurs, les prix TTC comprennent également les frais du contrôle douanier, du contrôle d'étalage, les taxes de la valeur ajoutée, du commerce et de la consommation, etc. Ainsi, les prix TTC des produits de luxe importés en Chine sont effectivement 1/3 plus élevés que dans les pays exportateurs.
Un des conséquences de la taxe élevé sur les articles de luxe est de la consommation du luxe à l’étranger. Aux yeux des marques de luxe, il y a deux Chine : la Chine à l’intérieur et la Chine qui voyage.