Madame de tourvel a valmont
Le texte que nous allons analyser est une lettre de la présidente de Tourvel au Vicompt de Valmont issue de l'oeuvre de Pierre Choderlos de Laclos " Les liaisons dangereuses " en 1782 . Pierre Choderlos était un officier militaire et un écrivain Français adepte du libertinage , terme ayant deux acceptions principales , soit le libertinage d'esprit ( libre pensée ) qui désigne quelqu'un affranchis de toutes éthiques religieuses mais aussi le libertinage des moeurs désignant quelqu'un s'adonnant aux plaisirs charnels dépassant les limites de la morale. C'est parce que Pierre Choderlos de Laclos à perdu toute confiance en les relations humaines qu'il s'y est adonné . Cette lettre fait l'objet du genre épistolaire , genre formel composé par une correspondance fictive . Ici nous avons affaire à un personnage ficitif : La présidente de Tourvel qui étant le sujet des avances du vicompt de valmond entreprend d'y mettre un terme par une lettre . De quels procédés Mme de Tourvel va t-elle user pour susciter le rejet dans cette lettre ? Tout d'abord nous montrerons de quelle manière elle justifie son refus face aux propositions libertines du Vicompt de Valmont puis nous continuerons sur l'attaque de celle ci et sa façon d'essayer de faire le faire culpabiliser
D’emblée nous remarquons que la répétition de l’impératif « cessez » à la première ligne montre un certain agacement et une supplication de madame de Tourvel au Vicompt de Valmont. Elle semble exténuer par toutes les tentatives dont celui ci a fait preuve . En continuant la lecture l’expression « ne me forcez pas à regretter de vous avoir conu » démontre toutefois la faiblesse d’esprit de madame de Tourvel. Bien qu’elle le repousse elle ne regrette pas de l’avoir connu et cela pourrait laisser à penser que ses supplications serait un appel de détresse , si le Vicompt de Valmont persiste elle pourrai bien y céder . S’enchainent ensuite diverses justification de la part de cette dame . En commençant