TPE : MAI 68

l) Société à bout de souffle.
En 1968, nous sommes à la fin des « Trente Glorieuses ». A ce moment la société de consommation est à son apogée, la France connait un taux d’accroissement économique de 5%. Et pourtant les Français vont réfléchir sur leur mode de ma vie, ils vont alors se demander pourquoi « perdre sa vie à la gagner » ? Le travail est une cause flagrante, les femmes travaillent aussi, cela fait donc un deuxième revenu pour le foyer qui va donc aspirer aux familles à consommer plus, mais il n’y a pas que l’aspect de consommation, mais aussi le besoin d’être libre et surtout indépendant ! En effet les ouvriers s’exaspèrent au travail pour un « petit chef » qui profite de leurs efforts pour s’enrichir, ils n’ont qu’une envie être les bénéficiaires de leur travail fournis et non d’en semer une partie. Mais tous ces efforts de travail reviennent toujours au même point : « consommer ». C’est un cercle sans fin qui se dessine pendant les années 60, Travailler pour avoir une source d’argent qui servira à consommer, mais pour consommer plus il faudra travailler d’avantage et ainsi de suite.

La société se retrouve avec un besoin de respirer, les jeunes qui ont entre 15 et 25 ans vont alors se joindre au mouvement. Leur entré dans le mouvement va être plus facile que pour les ouvriers en effet, ils n’ont aucune contrainte comme le travail, ils n’ont donc aucun revenus qui le sera retiré pour leur absence. Mais aussi, la plus part d’entre eux suivent des études et ont donc la capacité intellectuel d’avoir une réflexion sur les évènements sans même être directement impliqué. Et pourtant on leur trouvera une place dans cette « révolution », ils ont très peu le droit de s’exprimer. Ils ont besoin d’être émancipé puisque à cette époque les jeunes étaient majeurs à l’âge de 21 ans, ils n’ont donc pas le droit de voter et n’ont aucune parole valable pour changer la société au niveau du gouvernement. On remarquera dans leurs idées qu’ils ont un