Mer aral ( les points)
Avant, la mer d’Aral était alimentée par deux grands fleuves, le Syr-Daria et l’Amou-Daria
les économistes soviétiques déterminent qu’il faut développer la culture intensive
Les fleuves Amou-Daria et Syr-Daria sont détournés pour irriguer les cultures
L'assèchement de la mer elle fût planifié dès 1918
la mise en place de grands plans d’irrigation visant à développer la culture du riz au Kazakhstan et du coton en Ouzbékistan. ( Canal du Karakoum )
Conséquence le fleuve Amou-Daria est toujours détourné pour la culture du coton qui continue encore de nos jours, le Sir-Daria au nord déverse désormais dans l’Aral un débit conséquent et régulier
Le niveau il a commencé à baisser dans les années 1960
L'eau devient très salé
Il y a beaucoup d'espèces qui disparaissent mais il reste les espèces les rares capables de survivre dans ce milieu la Petite Aral, elle, a des chances d'être stabilisée
5 millions de personnes aient été contaminées. Aujourd’hui encore, le taux de mortalité infantile de la région est l’un des plus élevé au monde
En 1989 division en deux bassins, la Grande Aral au sud et la Petite Aral au nord
Solution en 1996 le niveau de la Petite Aral qui augmente due à la construction d'une digue qui sépare les deux bassins (par Alachibaï Baïmirzaev ) mais elle a cédé en 1999
le barrage de Kokaral, inauguré en 2005, grâce à un financement du Kazakhstan et de la Banque mondiale Le rôle principal de cette gigantesque digue longue de 13 km est de stopper l’écoulement à perte du fleuve Sir-Daria dans la partie sud de l’Aral comparaison: Les expériences socialistes du XXe siècle ne furent définitivement pas des plus écologiques; la preuve étant l’état de l’environnement en URSS où les catastrophes écologiques se sont succédées durant toute la période soviétique. L’urgence de se développer et de rattraper les pays capitalistes, la centralisation des pouvoirs et la lourdeur de la