Mme de la fayette la princesse de clèves
En effet, après la déclaration de Mme de Clèves, son mari a beaucoup souffert, on dit même qu' « il pensa mourir de douleur », c'est à dire qu'il a ressenti une souffrance terrible. Cette expression est en redondance avec « affliction aussi violente ». En effet ce morceau de phrase évoque aussi une souffrance terrible. Dans ses paroles, M. de Clèves utilise le superlatif « personne ne peut être plus malheureux » qui confirme sa souffrance presque inexorable. Il insiste encore une fois sur le fait qu'il est malheureux en déclarant « vous me rendez malheureux ».
(Pas d'intro)
En plus de sa souffrance, M. de Clèves est extrêmement jaloux. Il le dit avec « La jalousie d'un mari » et insiste sur cette jalousie en rajoutant « et celle d'un amant ». De plus ce sentiment le pousse à interroger à plusieurs reprise sa femme pour essayer de découvrir le nom de son « rival » : il lui dit « Et qui est-il, madame, cet homme heureux qui vous donne cette crainte? » ou encore « Madame, achevez et apprenez-moi qui est celui que vous voulez éviter ». La dernière marque de cette jalousie, c'est qu'il surpasse l'impossible : il dit qu'« il est impossible d'avoir celle d'un mari » mais pourtant, quelques phrases avant, il dit qu'il a la jalousie d'un mari.
Néanmoins, il se comporte comme un honnête homme :
Il analyse la situation avec raison. Il sait qu'il est en état de choc et au lieu d'agir sur un coup de tête, il dit à son épouse « dans les premiers moments […] je ne réponds pas ». Il prouve son amour tout au long du récit comme avec cette phrase : « Vous m'avez donné de la passion […] et elle dure encore ». Il lui dit aussi « Je n'en abuserai pas » qui prouve qu'il l'aime et ne veut pas la trahir. Ce sentiment tellement fort, est encore confirmé par « je ne vous en aimerai pas moins » où M. de Clèves déclare encore son amour à sa femme.
Enfin, il est plein d'admiration quand au