Moli Re 3
Tout est en alexandrine.
Une stichomythie IE répliques courtes
Le barbon IE vieux amoureux du jeune ; est ridicule à la base. Etre prédestiné comme être cocu. Amour malséant IE va à l’encontre des bienséances.
Tonalité tragique avec vers emphatique ou lyrique (isolexisme) – (début de vers) qui donne une tournure pathétique au personnage mais aussi comique entre le registre employée et la situation qui est là. Echo au comique de situation car Arnolphe responsable du mal dont il souffre.
Insistance mise en place par le parallélisme qui suggère que cela est rien et qu’Arnolphe craint qch « quelque » = dét indéfini ce qui participe au non dit. « caresse » a un sens extrêmement vaste. Euphémisme.
Spontanéïté : interrogation. + jeu de parallélisme « et les mains et les bras » qui marque cependant un enthousiasme.
Caresse à baiser
Quelque autre chose : toujours indéfini – renforce le non dit
On joue ici sur l’innommable IE entre en adéquation avec prudence du personnage : ne veut pas que ca se passe car la fille est censé etre naïve. Périphrase à valeur d’euphémisme qui désigne de façon indirecte la vertu.
Aparté : processus théâtral caricaturale. Jeu de décalage qui crée et articule double énonciation du langage théâtrale. La stichomythie - paradoxe qui ralenti l’aveu. Autre effet = ce qui ralenti l’aveu paradoxalement IE les petites interruptions impatientes d’Arnolphe (marqué par les aposiopèses)
Le vers dénonce d’autant plus l’état d’Arnolphe et son enjeu. « Peut etre » IE naïvité de la fille face à l’énervement et impatience d’Agnès.
Répétition « il m’a pri » +aposiopèse => comique de répétition. + « non » et « si »
Pathétique d’arnolphe en devient comique. L’aparté IE double énonciation
Effet d’attente qui crée une chute – élément d’innocence : le ruban qui vient contebalancer la crainte. Prendre ne pouvait pas avoir un sens abstrait, interpréter par Agnès dans un sens premier. Souligne sa naïveté. Naïveté renforcé par la