Moralité dans la sécurité privé
Au-delà du cercle des acteurs institutionnels et des acteurs publics de proximité, la mise en œuvre de la prévention de la délinquance repose également sur le concours croissant des acteurs privés.
La coproduction publique-privé fait ses premiers pas. L’état se décline en partenaire nouveaux avec des acteurs économiques.
L’avènement des nouvelles lois, telles que les Lois d’Orientation et de Programmation pour la Sécurité Intérieure (LOPSI 1 et 2), plus récemment la création du Conseille National des Activités Privées de Sécurité (CNAPS) pousse l' activité privé a relever de nouveaux défis.
Ce chalenge comporte différents aspects, deux aspects sont traités dans cette dissertation : la moralité et les compétences dans la sécurité privé.
L’utilisation des compétences pour caractériser le travail est un phénomène relativement récent. Son apparition correspond à un besoin de lisibilité et de qualification des savoirs faire nécessaire à une activité.
Moralité : du latin moralis (relatif aux mœurs) ; Valeurs éthiques d’une personne qui se manifeste à travers sa conduite, mœurs : habitudes, naturelles ou acquises relatives à la pratique du bien ou du mal.
Ces deux mots sont depuis quelques années associé pour présenter la sécurité privé comme une activité tout à fait professionnelle et fiable vis-à-vis de nos partenaires de la sécurité publique et de la société.
Il faudrait que ces deux concepts se développent ensemble dans la profession puisque nous sommes confrontés à de nouveaux défis.
Le but de ce travail est d' essayer d'analyser la problématique que présente la sécurité privé et les désirs, pas toujours clairs et organisés du pouvoir public, d' inclure la moralité et la compétence dans cette activité économique privé.
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