Myszka
Satrapi n’a pas peur de montrer des contradiction qui est profondement encrée dans la réalité iranienne, elle ne desavone pas la partie damnée (la violence, l’hypocrisie du pouvoir, la schizophrenie sociale, la frustration des femmes, le schowinisme des hommes), mais elle essaye de ne pas la demonisé.
Tout a commencé en France, précisement à Strasbourg, ou M.S. est arrivée en 1994 pour étudier à l’Academie des Beaux – Arts. Hormis quelques voyages en vacances, c’était son 2e voyage en Europe.
10 ans plus tôt ses parents l’avait envoyée dans un lycée français à Vienne (arrivent à la conclusion) persuader que l’Iran en guerre était trop dangereux pour une fille de 14 ans.
Dejà pendant le sejour en Autriche M. S’est rendu compte que la conversation avec les amis europeenne sur le sujet du pays natale n’apporte que les problemes. Il ne suffit pas de dire seulement : « Je viens de l’Iran ». Il faut expliquer patiennement que chaque iranien n ‘est pas un fondamentalist, un phanatique religien ou un terroriste et qu’en dehors des iraniens il y a également des iraniennes qui contrarement à l’opinion répendu en Occident se révoltent contre le chovinisme traditionelle et lutte franchement pour leur droits.
Dans une des interviews Satrapi a dit que pendant plus de 20 ans elle persuadait des gens de l’Occident que l’Iran n ‘est pas un lieu maudit, elle recontait des histoires qui allait contre le stereotype par le médias concernant son pays. Elle irait persuadé que ces conversations accidentales ne résoudre pas le problème. Elle savait parfaitement que la répresentation domonante il faut lutter contre une autre réprésentation. Mais elle n’arrive pas à trouver des moyens d’expression, qui était adequat ou rhytme de son histoire. Elle partoit en elle les archives d’histoire – tragique et comique, l’intimes et politique, actuelles et historiques – mais l’accés à eux avaient uniquement ses amis avec lequels elle menaient les discussion