Mythes et symboliques
Dans la mythologie grecque il y a deux figures de l’amour. Il y a plusieurs façon d’aimer même si l’effet de cet amour est toujours le même.
Chaque personne a la possibilité d’avoir un comportement par rapport à la sexualité qui lui est propre. On ne parle plus de sexe mais de genre. « Gente studies » = études de genre = étude d’une sexualité spécifique.
Il y a la naissance, la mort et la sexualité : tout dépend de ces trois concepts de notre vie. Les mythes nous parlent surtout de ces trois réalités. Il y a une gamme de couleur infinie.
Les amours nous occupent pendant une bonne partie de notre existence totalement ou partiellement. Notre vie est façonnée par rapport à notre attitude face aux amours. C’est cette attitude qui fait d’un homme ou d’une femme quelqu’un d’heureux ou de malheureux.
Avant les récits transmis par les poètes les seuls documents qui peuvent nous informer sur ces croyances sont des vestiges plastiques ou des découvertes idéologiques des sites. On sait que les premières sociétés vénéraient leurs divinités dans des lieux, des grottes. On ne bougeait pas beaucoup on restait où on était. C’était des sociétés sédentaires.
Les femmes étaient dessinées tout en rondeur les seins, les jambes, les cheveux… les premières sociétés étaient patriarcales et qu’on adorait les divinités féminines. On adorait la femme comme étant quelqu’un de très proche de la Terre.
Avant aucune notion de la reproduction juste le corps de la femme étaient magique. Les sociétés donc étaient matriarcales = les femmes décidaient, les sociétés étaient sédentaires et ne faisaient pas la guerre car les femmes n’était pas de nature à faire la guerre. Rien ne bougeait les hommes allaient à la chasse : monde qui vivait le moment présent.
A partir du moment où l’homme prend conscience qu’il y a ait pour quelque chose dans la naissance alors tout va changer. On passe dans l’imaginaire. L’homme prend la place sociale de la femme. On