nique ta mère!
37260 MONTS 35964 N-Y
Chers lecteurs du « Times »,
Hier, à Philadelphie, je me baladais tranquillement, dans la rue. Le cadre était agréable, mais soudain, je vis un policier blanc monter dans les tours. Je ne savais pas qui était son interlocuteur jusqu'à se que je me rapproche. C'était un jeune noir. Il était plaqué contre le mur, les mains attachées derrière le dos. Je m'avançais encore un peu vers eux et demandais au policier si tout se passait bien. Suite à quoi il me répondit sèchement qu'il avait le contrôle de la situation. « Qu'a-t'il fait, demandais je alors? -Je le soupçonne de dealer de la drogue, me répondit il. Comme tous ceux de sa race d'ailleurs! renchérit il aussitôt. »
Cet homme abject n'avait apparemment pas évolué depuis 1945. Qu'un homme puisse avoir des réactions aussi absurdes, basiques, me mit hors de moi à tel point que ne m'y reconnaissais pas! « Certes cette personne n'est pas comme vous, mais elle reste un être humain! Il n'y a pas différentes races entre les Hommes! Ce n'est pas parce que sa couleur de peau diffère de la votre que c'est forcement un dealer! » le brusquai-je. « Aller mon garçon! Vide tes poches et donne lui tes papiers » dis-je au garçon. C'est ce qu'il fit. Tout se passa bien jusqu'à ce qu'il sorte un petit canif, a peine un épluche patates, et le fasses tomber par terre. En voyant le couteau tomber, le policier sortit son arme à feu, et avant même que le black ne puise réagir, il lui logea une balle dans la tête! « Écartez-vous Monsieur, me dit-il. Il était armé. On ne sait jamais ce qu'un nègre peut faire avec une arme comme celle-ci! »me dit-il sèchement.
J'étais horrifié. Ce policier venait d'abattre un jeune sous mes yeux juste parce qu'il était noir et qu'il portait un couteau à peine tranchant. Je n'en reviens toujours pas. Il lui a ôté la vie à cause de sa couleur de peau, et de l'arme qu'il portait alors que c'était son droit. Consterné, abattu par cette scène