No pasaràn , le jeu
No pasaran, le jeu est un roman contre la guerre,la violence et le fascisme. Ecrit en 1996, il tire également la sonnette d’alarme sur l’utilisation outrancière des jeux vidéo par certains adolescents au détriment d’activités qui incitent davantage à la réflexion, comme par exemple, la lecture.
Mais l’essentiel du roman réside dans la fascination d’ Andreas, fils d’un membre actif d’un réseau raciste, antisémite, fasciste, pour la violence. Lorsque Thierry et Eric se rendent compte de l’idéologie de celui qu’ils pensaient leur ami, il est trop tard, ils devront l’affronter jusqu’au bout.
Le roman renvoie à des périodes historiques : guerre de 14-18, guerre d’Espagne (Guernica), guerre de l’ex-Yougoslavie servent de contexte au jeu, c’est un livre passionnant qui donne à réfléchir.
On vous avait prévenus : les jeux sur ordinateur, c’est mal. Surtout quand ils sont violents. L’Expérience Ultime est un jeu extrême, qui comporte toutefois une part éducative. Même s’il existe des façons plus douces d’apprendre l’histoire et la vie en général. Tout commence à Londres, dans une boutique. Un vieux vendeur donne une disquette à trois enfants, après avoir été fortement agacé par l’insigne que portait l’un d’eux. Ils seront happés dans un univers virtuel aux allures excessivement réalistes, vivant les horreurs des guerres du XXe siècle. La prise de conscience des horreurs de ces conflits sera douloureuse, surtout pour Andreas qui vouait une fascination malsaine et morbide à la violence. Un récit cru et oppressant qui transforme le rêve d’immersion totale dans un univers virtuel en un véritable cauchemar. Une impitoyable leçon d’histoire et de