no pasaran le jeu
De même, certains faits décrits dans le livre sont difficiles à imaginer dans la réalité, comme le fait que le jeu Doom, pour faire sa promotion, envoie des sacs remplis de viscères aux magazines de promotion des jeux vidéo.
Mais la partie la plus fantastique du récit est sans doute celle liée au jeu que leur donne le vendeur à Londres et auquel il leur ordonne de jouer. En effet ce jeu offre des possibilités aux joueurs qu’il serait impossible d’avoir dans la réalité. Le simple fait que de telles options et commandes tiennent sur une disquette, et le fait qu’il se lance tout seul laissent voir que le jeu est « magique ». Il est trop réaliste pour être vrai. On atteint le summum quand les joueurs se retrouvent projetés à l’intérieur même du jeu, et en plus chacun dans le corps d’un personnage différent, qui leur correspond (exemple d’Elena qui voit son père dans le jeu).
Le fait que le récit soit fantastique est sans doute lié à la volonté de l’auteur de montrer son engagement et de faire un récit plus