nouvelle de français
Le lendemain, un novice nommé Richard est retrouvé le crane explosé sur les rochers en bas de la falaise sur laquelle se trouve l’abbaye. Ceci aurait pu être un suicide mais de la part de Richard c’était impossible car il était toujours souriant et joyeux. Le lecteur hurle qu’il les avait prévenus que ces voyageurs étaient démoniaques. Il est pris au sérieux par les plus craintifs, mais les autres veulent des preuves avant de mettre à la porte des personnes susceptibles d’être innocentes. Le soir même, le cellérier se promène dans les jardins quand il aperçoit une ombre suspecte trainant un grand sac animé derrière elle. Il n’ose pas s’approcher. Au petit matin le lecteur dit avoir trouvé un cadavre enfermé dans un sac qui était dans la rivière. Le cellérier raconte alors ce qu’il a vu la nuit dernière. Le jour suivant c’est son corps que l’on retrouve sans vie dans la mangeoire des cochons. Les moines commencent à paniquer. Quelques jours plus tard, les deux voyageurs s’en vont car le temps est redevenu plus clément. Mais la vague de crime ne s’arrête pas pour autant. Le chantre est retrouvé sur l’orgue un couteau planté dans le cœur. Le lecteur leur dit que c’est l’apocalypse et qu’il n’y a plus rien à faire.
Cette fois les voyageurs ne peuvent plus être incriminés puisqu’ ils ne sont plus présents, le coupable est donc