L’assassin se retourna silencieusement et partit vers la sortie de cette immense demeure, laissant derrière lui une mare de sang sous un corps sans vie. C’était son 11eme forfait. Il était nouveau dans ce corps de métier mais c’était fait une réputation assez rapidement pour une raison simple : ses crimes était inexplicables ! En effet, les policiers enquêtèrent sur chaque meurtre et se trouvèrent toujours devant une situation où l’ambigu se disputer à l’absurde. Le tueur passant dans une salle ou se dénombrer une incroyable quantité de miroirs et se dit que la petite taille de cet homme était à l’opposé de la grandeur de son ego. Il marcha tranquillement regardant une nouvelle fois cette extravagante collection de miroirs. Il avait plus de temps cette fois si : pourquoi se presser quant le crime ne serai découvert que trop tard et que la police ne le poursuivait pas. Il savait que cell-ci surveillait cette demeure comme probable lieu de crime. Mais il savait aussi quel ne pouvait rien faire face à sa singularité. Il continua donc sa route en regardant ces miroirs dans lesquels se reflété son visage inexpressif, on pouvais parfois voir ses yeux noir de jade, parfois voir ses cheveux sans couleur, ou bien encore voir ces traits figés sur ce masque qu’était l’insensibilité. Une fois sortit de cette maison, il irait chercher sa prime puis rentrerai chez lui, toujours aussi tranquille. Quelle belle journée, pensât-il. Au commissariat, une atmosphère tendue planait au dessus des policiers lorsque le chef surgit de son bureau venant s’enquêtait des nouvelles arrivées.
« Bande de feignants ! Pourquoi ne travaillait vous donc pas ? Rugit celui-ci.
_ Et bien inspecteur en chef, c'est-à-dire que …
_ Parlez bon sang !
_ On vient de nous rapportait un nouveau crime qui correspond tout a fait au tueur que nous recherchons et cela concerne bien la personne pour laquelle nous avions prévu son prochain forfait.
_ Alors il y avait des forces sur place ! Que sont elle