Crime au Louvre

Cette histoire se passe en été 2007 en fin de journée, à vingt heures au musée du Louvre, où se trouve la Joconde qui va être volée pour être revendue au marché noir d’Italie. Il y a quatre personnages : Mr Martinet, la victime (le gardien du musée) ; Mr Erwan Coriac, l’inspecteur ; Mr Vamp et Mr Kétta, les suspects, et Mme Poussine, la témoin. Le 27 août 2007, j’étais de garde au Musée du Louvre et j’entendis du bruit. Je suis allé voir d’où cela provenait : cette salle était visitée tous les jours par des centaines de touristes de toutes les nationalités, le tableau était le plus connu de notre musée et de l’Europe de l’ouest. Je me dirigeai vers cette salle quand la surprise, la peur et l’émotion me submergèrent.
Le tableau avait disparu.
La Joconde n’était plus là, elle avait été volée et ce, pendant mon travail. Mon premier réflexe fut d’appeler mon responsable et le directeur du musée qui avait quitté les lieux, eux auraient certainement plus de sang froid que moi. Le directeur arriva cinq minutes plus tard et, pendant ce temps, le responsable appela la police. Elle arriva hélas une heure plus tard prétextant qu’elle était débordée. Elle commença par relever des empreintes sur la vitre qui protégeait le tableau de La Joconde, elle examina aussi les lieux : à commencer par les poufs, où il n’y avait rien de suspect. Par contre, un embout des fils de sécurité était abîmé, mais d’après le responsable, il l’était depuis une semaine. Au niveau des lumières, un spot avait sauté récemment car il était encore tiède. D’autres empreintes ont été relevées sur d’autres vitres, sans doute un sac a-t-il été posé là. Les policiers remarquèrent ensuite qu’une porte fenêtre avait été fracturée, sans doute pour pouvoir entrer, sans que l’alarme ne se déclenche.
Les panneaux d’orientation et les ascenseurs n’avaient quant à eux aucun indice apparent mais les interrupteurs avaient été utilisés, sans toutefois qu’on sache s’il s’agissait du voleur ou