OPEX
Aujourd’hui les opérations extérieurs posent de nombreuses questions, dont notamment: Jusqu’à ou peut aller l’armé pour protéger ? En effet l’exemple le plus connu de ce problème est la guerre d’Algérie. Où sous le prétexte de protéger les citoyens français l’armée a commis des atrocités comme la torture. On est donc en droit de se demander si nos actions à l’étranger sont bel et bien dans l’intérêt général. A première vu oui car il existe de sérieuses menaces dans certaines régions comme la piraterie au large de la Somalie où l’UE mènent des opérations militaire pour lutter contre les actes de pirateries et les vols a mains armée depuis 2008.
Avec plus de 6500 hommes déployés au quatre coins du globe en 2015 ces actions mettent également en danger la vie des soldats (moins de 4000 Français représentaient, à l'été 2011, 3% de la coalition en Afghanistan. 88 ont été tués, soit moins de 3% des pertes de la coalition ce qui représente en moyenne le taux de perte durant les OPEX) pour ce que certains pourrai considérer comme des causes qui ne nous concernent pas vraiment au quotidien car elles n’ont pas lieu directement à nos frontières. En effet par exemple les opérations en Afghanistan, Libye, Liban, Balkans, Côte d'Ivoire et Mali n’avait et n’ont pas d’influence direct et ne présentait pas vraiment de danger pour les citoyens français. Et pourtant des sommes considérables ont été dépensées. On peut donc se demander jusqu’à ou l’armé peut-elle intervenir à l’étranger
Se pose aussi la question économique comme on le voit ci-dessous :
Sur les interventions les plus connus : au large de la Somalie (EUNAVFOR Somalie / Atalante : envrion270 hommes) – cout approximatif : 25,5 millions d’euros en Centrafrique (opération Sangaris pour maintenir l’ordre : 2000 hommes) – cout approximatif : 21,5 millions d’euros au Liban (opération Daman pour faire face au conflit israélo libanais : environ 900hommes). –