Opposition au "northern gateway pipeline"
Une alliance internationale de groupes environnementaux a rejoint le montant grandissant des opposants à un projet d’un oléoduc massif pour le nord de la Colombie-Britannique.
Une collection de groupes, y compris le Conseil de Défense des Ressources Naturelles et l'Institut Pembina a publié un rapport mardi en faisant valoir que le montant de 5,5 milliards du « Enbridge Northern Gateway Pipeline » présente un risque inacceptable pour les rivières du montagne de la province et la cote parfaite.
Catherine Stewart du Société des Océans Vivants affirme que le oléoduc pourrait menacer la « Great Bear Rainforest », le seul endroit au monde où l'ours d’esprit peut être trouvée.
"C'est une énorme pari pour très peu en retour,» elle a déclaré à CTV Nouvelles. «Il ya une foule de préoccupations. L'oléoduc serait construit à travers un terrain extrêmement dangereux qui peut être sujet aux glissements de terrain."
Alison Redford, chef de gouvernement d’Alberta, insiste que, "Nous avons la capacité d’améliorer l'infrastructure du oléoduc et je pense qu'il est important de parler des avantages économiques."
L’oléoduc pomper un demi-million de barils de pétrole à partir des sables pétroliers de l'Alberta jusqu'à Kitimat, où il serait assemblé dans les superpétroliers à la destination de l'Asie.
Groupes des Premières nations et des militants écologistes ont parlé contre le projet depuis des années. Ils ont été encouragés ce mois-ci quand Obama a rejeté l'Oléoduc Américain « Keystone XL» en raison des impacts potentiels sur la région écologiquement sensitive des sables pétroliers de Nebraska.
Les Premières nations de B.C. qui s'opposent au projet Northern Gateway tiennent une conférence de nouvelles pour discuter du l’oléoduc.
"Le pétrole ne peut jamais être nettoyés. Je l'ai vu sur les côtes - la pétrole qui venir jusqu'à la côte, la nature détruite", a déclaré Geraldine Thomas-Flurer de l'Alliance Yinka Dene.