Oral : théophile de viau : la frayeur de la mort
Introduction :
Théophile de Viau, né entre mars et mai 1590 – 1626 est un poète et dramaturge français.
Poète le plus lu au xviie siècle, il sera oublié suite aux critiques des Classiques, avant d'être redécouvert par Théophile Gautier
Depuis le xxe siècle, Théophile de Viau est défini comme un auteur baroque et libertin
Bien qu’un moment protégé du roi Louis XIII, il a vécu en exil et a été emprisonné : on lui reprochait, sur la base de poèmes obscènes qu'il avait écrits pour le Parnasse satyrique, d'avoir des mœurs homosexuelles et un esprit irréligieux.
La frayeur de la mort ébranle le plus ferme : prêcheur qui permet de se confesser avant de mourir. Pour aller au paradis. C'est déjà trop tard. Il se croit mort mais l'imagination + forte que la raison, il n'est plus capable d'écouter.
Partie I : Imagination pire que la réalité rejet puis contre rejet, enjambement → on cherche dans le vide, l'esprit ne peut être apaisé. « âme » et « robuste » deux mots pas de la même famille → paronomase. Enjambement → souffle, respiration. Sur de mourir, dédoublement du corps « auprès de soi » → imagination. Baroque → providence alors que « accident de la vie », imagination du pire. Alexandrin → dynamisme. « la frayeur de la mort » → est ce que la mort provoque la peur ou le fait de la mort fait peur ? « ébranle le plus ferme » le terme ébranler évoque la fin, alors il s'agit de la grandeur du mot. Une âme ne peut pas « s’étonner ». « cordeau » → antithèse, paradoxe → baroque. « il n'a goutte de sang qui ne soit lors glacée » → peur, hyperbole. « son âme est dans les fers » → être couvert de chaîne à cause de la peur. Imagination, il voit après sa mort. Imagination trouble la réalité par la seule force de l'imagination, il souffre de la peste et du poison → parallélisme et allitération en p. Il transmet sa douleurs aux proches. Imagination, comparaison → baroque → la Grève ( place de la Grève