Origines et conséquences de la crise pétrolière pp 188 9 pistes de travail 2 et 4
, pp 1889, pistes de travail 2 et 4. Dernières modifs: 3 novembre 2013 QUESTION 4 Quels leçons les pays industrialisés tirentils de la crise du pétrole ? On voit que tous les avis, d’une manière ou d’une autre, penchent pour les économies d’énergies.
Tout d’abord, avant même la crise du pétrole, il y a des critiques contre la croissance effrénée en général, qui n’est pas raisonnable (p. 186).
Les pays industrialisés prennent conscience que leur croissance effrénée dépend d’une énergie bon marché
(texte p. 188 et dossier, doc. 5).
Donc, ils discutent beaucoup à ce sujet :
Des doutes et des critiques sont exprimés au sujet de la croissance forte. On dénonce cette croissance forte. On appelle à l’arrêt de cette croissance forte (p. 187).
Cela débouche sur beaucoup de bonnes résolutions comme consommer moins d’énergie (dossier, doc.
3), promouvoir des énergies propres (donc non pétrole), promouvoir des énergies alternatives (texte p.
188 et dossier, doc 5), découvrir de nouvelles énergies (doc. 5) et devenir autosuffisant (doc. 5).
Parmi les bonnes résolutions des pays riches, il y a celle de vouloir bien payer le pétrole plus cher
(dossier, doc. 3). Cela se voit d’ailleurs sur le graphique 1, où, en effet, on voit le prix du pétrole crever le plafond. Une des grandes leçons, c’est le besoin de diversification . C’est une des bonnes intentions dans le doc.
3, on voit qu’elle a été mise à exécution dans le doc. 4 qui montre bien la diversification des sources de pétrole entre 1973 et 1988, et le document 5, le discours de Nixon, qui lui aussi appelle à découvrir de nouvelles sources d’énergie, ce qui peut vouloir dire des énergies autres mais aussi d’autres endroits où il y a du pétrole.
Mais toutes ces leçons ne vont pas toutes dans le sens du meilleur.
Pas tout le monde critique la croissance effrénée. Il y a un texte qui appelle à une « croissance sans