Pauvreté et nouvelle technologie
Les pays en développement connaissent depuis des lustres un état de pauvreté croissant qui préoccupe de plus en plus certaines instances mondiales. Malgré le boom économique que connaît notre siècle, la globalisation de l’économie, marqué par un bondissement économique des pays industrialisés de même que de nouveaux riches comme la Chine, les pays pauvres n’arrivent pas toujours à émerger et continuent de sombrer dans le trou noir de la pauvreté. Et malgré les différentes mesures prises par les organisations internationales pour sortir ceux-ci de la crise économique qui sévit de plus en plus, rien n’y fait. Notre ère est surtout marquée par une nouvelle révolution que sont les technologies de l’information et de la communication (TIC). En effet, ces nouvelles technologies modifient considérablement la vie de tous les jours par de nouvelles façons de communiquer, de payer et de vendre, d’étudier, de s’informer, etc. Ces nouvelles technologies bouleversent effectivement nos façons de vivre et de travailler en apportant des améliorations considérables qui permettent d’évoluer dans n’importe quel domaine que ce soit. Ces nombreux changements positifs - et parfois négatifs malheureusement (piraterie, escroquerie, pédophilie, etc..) - qu’apportent les TIC amènent la communauté mondiale à s’y intéresser et à promouvoir son utilisation. Les TIC peuvent être un catalyseur pour le développement des pays pauvres tel que l’Afrique. Vu les retombées de son utilisation dans les pays riches, il est certain que l’Afrique peut s’en sortir grâce à ces technologies. Le problème actuel est qu’ils sont très peu intégrés dans les habitudes des Africains : les différents usages des TIC et ce qu’ils peuvent apporter comme avantages sont méconnus de ceux-ci. En Afrique, on en est encore à résoudre les problèmes de famine, d’eau potable, d’électricité, etc. Est-ce que les TIC sont vraiment ce dont les Africains ont réellement besoins ? Les TIC qui seraient trop