Philo
Scène III, Acte I
Jean Baptiste Polequin est l'auteur de la pièce L'Avare qui est une pièce théâtrale comique qui a été produite durant le grand siècle. Le grand siècle a été marqué par le mouvement libertin introduit par le roi Louis XIV. Louis XIV beaucoup aidé Molière, car il était le protégé du roi. La pièce de L'Avare a principalement été créée pour ridiculiser les bourgeois dans la hiérarchie sociale. La scène III, Acte I sera visée à la cour de cette analyse. Pour débuter, il sera question des actions de la scène, et par la suite, il sera question du portrait social de quelques un des personnages de la pièce.
Pour débuter cette analyse, c'est évident que les actions d'Harpagon reflètent son avarice dans cet extrait de texte. C'est plutôt évident de voir les multitudes de caprices quand Harpagon entend qu'il faut de l'argent. La discussion entre Harpagon, maître Jacques et Valère tourne a l'entour de faire un bon souper avec peu d'argent. Maître Jacques a le malheur de demander un peu d'argent a Harpagon pour le souper, alors il se fait répondre : « De l'argent. Toujours parler d'argent. Voilà leur épée de chevet, de l'argent. »( La métonymie utiliser dans la réplique d'Harpagon renforce l'argument d'Harpagon. Il fait référence que Maître Jacques est toujours en contact avec de l'argent et qu'il dort même avec celle-ci. Cela donne aussi un effet comique au texte. Par la suite, il y a Valère, un noble qui essaie de ce morfondre dans les gestes et les pensés d'Harpagon car il veut avoir Marianne pour lui seul, car elle est aussi convoitée par Harpagon. Valère joue son jeu d'une façon remarquable car Harpagon l'écoute et le prend quasiment pour son idole. : « Apprenez, maître Jacques [...] il faut mangez pour vivre, et non pas vivre pour mangez. »( Ensuite, Harpagon va le féliciter et va lui proposer de faire graver ses mots en or. Dans cette antithèse, Valère touche les cordes sensibles d'Harpagon car celui-ci