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Philosphie dans la socité

3396 mots 14 pages
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Une société peut-elle demeurer elle-même en s'ouvrant à ce qu'elle n'est pas ?

Introduction : Ce sujet nous commande de raisonner sur un possible et un impossible. L'impossible fermeture à l'autre, au différent et la possible- ou nécessaire- rencontre avec cet autre pour former le social. En un sens, ce sujet nous interpelle certes sur des questions d'ordre économique, politique, religieuses ( la question de la tolérance à l'égard des autres religions, des autres cultures, la question du "quota" d'immigration ou non admissibile pour qu'une société soit elle-même, la question du libre échange économique,la question de l'identité d'une nation ou l'idée même de peuple, etc...). Mais ce sujet nous interpelle véritablement sur le "sens", l'essence même du social. Il nous commande de nous interroger sur les conditions dans lesquelles se construit et se détruit une société. Quand peut-on dire qu'une société se disloque ou à quelles conditions se disloquerait-elle revient à se demander ce qu'est une société, si son essence est l'ouverture ou la fermeture. Il nous commande de nous interroger sur son "être", ce qui la fait être ce qu'elle est..Mais comment et que répondre sans tomber dans le ridicule du "bon sens" ? La réponse à la question posée pourrait s'opérer suivant le mode d'une recherche d'un juste milieu. Mais une réponse sur un tel mode -outre un caractère trop automatique qui peut nous écarter de l'essentiel suppose acquise l'idée que "trop" d'ouverture pourrait nuire. Or il n'est aucune certitude, sauf celles des dogmatiques, sur ce sujet. Une doxa que nous refuserions d'interroger, un de ces nouveaux préjugés qui forment la trame de cette manière comme- il- faut- de penser que nous avons intégré en nous sans nous en rendre compte nous conduit sans doute à une telle recherche d'un "milieu". En conséquence, chercher le vrai ici n'est ce pas précisément accepter de remettre en cause, de dépoussiérer ce qui pourrait nous interdire d'aller vers le vrai et de

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  • Comment nous avons ruinés nos enfants - patrick arthus et marie-paule virard
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    Leur arme fatale: imaginer un futur proche (en 2030 ou 2050) ou aucune décision en faveur d’un redressement économique n’auraient été prises en France. Cette approche fait état de nombreux disfonctionnements et troubles sociétaires qui auraient pût être évité ou au moins préparé. Evidement, ceci n’est pas réaliste mais cela secoue, et c’est bien là le but. Pour cela, ils ont choisis de dénoncé de manière percutante le système de politique économique mis en place depuis l’époque des Trente Glorieuses par le….

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  • Lettre Philosophique sur Margaret Thatcher, transfuge social
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    C’était peut-être parce-que je suis femme, ou plutôt parce-que je ne suis pas bourgeoise de naissance. Oh Denis! Notre vie fût si compliquée… j’ai beaucoup exigé de toi, mais j’ai trop exigé de moi aussi, tu le sais. Je n’ai jamais voulu vivre la vie que le destin avait préparé pour moi, mon futur était bien meilleur. J’essaye de faire une analyse des circonstances dans lesquelles j’ai pris mes décisions pour comprendre ma….

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  • Demon de l aventure
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    Tant est le désir d´évasion important, tant notre époque semble lui couper ses fonctions. Il n´y a plus de lieu où nous puissions nous sentir libre et non contrôlés. Nous nous satisfaisons de ce que la société nous offre, à savoir «la facilité d´organisation», tout en nous privant de notre « liberté » car une vie quotidienne strictement règlementée nous conditionne à vivre dans l´immobilisme et le conformisme.….

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  • Pourquoi désirer l'impossible
    504 mots | 3 pages

    Faudrait il pas donc désirer que ce qui est possible ? Mais, si l’Homme n’avait jamais eût le désir de rendre possible ce qui li semblait impossible, les progrès scientifiques et techniques d’aujourd’hui n’auraient jamais vu le jour. Comme on peut le constater cette problématique suscite de nombreuse interrogations et donc nous verrons dans un premier temps comment une chose impossible peut être objet de désir. Puis nous chercherons à savoir si l'impossible ne peut être que négatif pour mon bien-être. Plan )….

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  • Pourquoi désirer l
    756 mots | 4 pages

    Dans ces conditions, pourquoi désirer l’impossible ? Pour quelles raisons, en effet, sommes-nous généralement attirés par ce qui, par définition même, ne peut pas être atteint ? N’est-ce pas prendre le risque de ne jamais être satisfait et ne vaut-il pas mieux, dans ce cas, désirer seulement ce qui est possible ? En quel sens le désir de l’impossible peut-il être, en définitive, une bonne chose pour l’homme ?….

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  • Toute vérité dépend-elle de nous?
    365 mots | 2 pages

    Un problème: l'objectif du vrai est elle universelle? A) toute la vérité est en relation étrite avec un ou plusieurs homme - il dépend de nous de dire ou d'avouer le vrai. Alain définit le mensonge, au sens moral comme ce qui refuse de dévoiler le vrai, et ceci dans tous les cas; cela équivaut à une rupture du contrat qui nous lie à autrui. -Il faut admettre, contre l'obscurantisme, un devoir de vérité _c'est la raison de l'homme qui affirme ou nie, affronte le vrai ou se laisse emporté par un sentiment entier, telle que la conviction ou l'evidence.….

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  • Peut on penser par soi meme sans se soucier de ce que pensent les autres
    2069 mots | 9 pages

    et c’est moi seul qui déciderai de ce qui est vrai. Ainsi, un enfant ne pense pas vraiment par lui-même dans la mesure où ses idées ne sont pas le fruit de son propre raisonnement : il se….

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  • tgykuhl
    347 mots | 2 pages

    Peut-on penser par soi-même sans se soucier de ce que pensent les autres? La pensée est sans doute ce que nous avons de plus précieux, en ce sens que c’est par nos idées que nous sommes…ce que noussommes. Mais si nous sentons tous que notre pensée nous appartient en propre, nous savons aussi que nous sommes plus ou moins influençables : avoir des pensées vraiment à nous n’est pas si facile. Alors comment faire pour penser réellement par nous-mêmes ? En ne nous souciant pas de la pensée des autres c’est-à-dire en nous rendant sourds à ce qu’ils pensent ?….

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  • Philo sénèque
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    DM de philo : Sénèque, De la brièveté de la vie. Ce texte est extrait de l’œuvre de Sénèque intitulée De la brièveté de la vie . Il traite de l’existence humaine. D’après l’auteur, la vie est trop brève parce que les hommes perdent leur temps.….

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  • Philomaitrisedesoi
    1926 mots | 8 pages

    Il s'agit d'une question incontournable de notre société puisqu'elle pose le problème de liberté et de responsabilité chez l'homme. L'homme est il capable de maitriser son inconscient et donc agir de manière libre et responsable? Pour y répondre nous allons dans un premier temps étudier en quoi l'inconscient met en péril la maitrise de soi. Dans un deuxième temps, nous nous arrêterons sur les conditions de la maitrise de soi, c'est à dire notre capacité à utiliser notre raison et la connaissance de nous même, à mobiliser notre volonté pour tenter de nous maitriser. En conclusion nous chercherons à comprendre s'il est possible d'agir de manière libre et responsable, malgré le poids de notre inconscient.….

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  • Philosophie, dissertation: comment savoir si l'on est dans le vrai ?
    4173 mots | 17 pages

    Cela pose un problème puisque si la notion de vrai est personnelle, comment peut-on savoir que l'on est dans le vrai sans même savoir ce qu'est le vrai ? Qu'est-ce que le vrai ? Qu'est-ce que n'est pas le vrai ? Quel est le contraire du vrai ? Est-ce possible de ne pas être dans le vrai ?….

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  • Dsdsfsf
    430 mots | 2 pages

    De plus il cite « l’instruction qu’on en veut tirer force d’y faire entrer des idées que l’enfant ne peut saisir Rousseau ici veut mettre en avant la question que l’enfant ne peut comprendre le vrai sens des fables et si c’est ça qu’il faut leur apprendre que des hommes qui flattent et mentent pour leur profit... L’enfant ne va pas comprendre le vrai sans, il est trop jeune pour comprendre cette société il peut même en tirer mauvais profit par exemple extrait du texte de jean-Jacques Rousseau Émile ou l’éducation «….

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  • liberté
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    En ce sens, nous sommes libres. De l’idée à la décision, il y a déjà un cheminement qui va du possible à la nécessité. Le possible est appelé contingent, c’est ce qui peut être autrement. Le nécessaire est ce qui ne peut être autrement. Nous sommes alors d’emblée confronté au monde extérieur et donc à ses contraintes.….

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  • L'homme n'est-il que le produit de la société?
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    Selon Aristote « celui qui ne veut pas vivre en société ou qui n’a besoin de rien parce qu’il se suffit à lui-même, ne fait point partie de l’état, c’es une brute ou un dieu », car seul, l’homme ne vaut pas grand chose. De nos jours la société dans laquelle vit l’homme détermine sa façon de penser, ses goûts, ses réactions. C'est-à-dire que la société influence l’homme comme pour la mode l’homme doit être bien habillé comme tout le monde. La société incite l’homme à la consommation par le biais de pub, de promotion par exemple l’alimentation, la nouvelle technologie quand ou nouveau téléphone ou une nouvelle voiture sont lancés sur le marché, la majorité des individus les veulent car l’homme est un être de désir. Le désir est le fait de vouloir quelque chose qu’on n’a pas.….

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  • Les hommes ne vivent-ils en société que par intérêt ?
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    Les hommes ne vivent-ils en société que par intérêt ? Il est aujourd’hui indéniable que la société est une donnée essentielle pour l’Homme dans le sens ou aucun être humain ne vit hors d’une société, hors de tout contact avec un autre congénère. Par société on peut entendre une association d’hommes qui vivent ensemble selon des lois qui leurs ont été léguées ou qu’ils se sont prescrites. Dire que l’on vit hors d’une société revint donc à dire que l’on vit sans être soumis à aucune loi, ce qui est impossible dans notre monde. Si aujourd’hui la totalité des hommes vivent en société on peut donc légitimement penser que cette dernière leurs apporte des avantages.….

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