Phèdre, intro scène 6 acte iv
Dans l'acte IV, scène 6, Phèdre s'adonne à ses dernières ''pensées''. En outre, elle confie à Oenone, alors qu'elle venait demander à son époux la grâce d'Hippolyte et de lui avouer la vérité,ce dernier lui apprend qu'Hippolyte, l'homme qu'elle aime d'une passion fatal en aime quand à lui une autre. Cette amour est destinée a Aricie qui n'est autre que l'ennemie de la famille. Devant cette découverte et considérant qu'elle a face à elle une concurrante de taille, elle va laisser éclater sa colère et s'envahir d'un immense sentiment, la jalousie. Et c'est ce qui va la conduire à vouloir se venger car elle choisi finalement de se taire et de condamné Hippolyte à mourir. Elle est prise de grandes hallucinations et laisse éclater sa souffrance qui l'anime en imaginant le bonheur d'Hippolyte et d’Aricie. Lorsqu’enfin elle retrouve un peu de lucidité, elle se sent fautif et endosse une part de culpabilité. Déchirer par cette passion dévorante qui est maitre de son corps et de son esprit et ne voyant aucune issue, son désespoir la conduit une nouvelle fois a sa volonté initial et profonde, celle de se donner la mort.
Comme nous avons pu le voir dans les scènes précédentes, Oenone joue un rôle essentielle et fondamental dans la piéce, en effet c'est grâce (ou a cause) d'elle que le dessein de Phèdre change à chaque rencontre. En outre, au tout début nous découvriont Phèdre '' mourrante et qui chercher à mourrir'', puis se laissant berçer par les paroles de sa nourrice nous apprenions progressivement la cause de cette volonté si funeste. Avouant son secret, elle lui déclare sa passion pour Hippolyte et toujours sur les conseils avide d'Oenone de la laisser mentir sur Hippolyte auprés de Thésée. Dans cette suprême scène avec Oenone, il y a une ''symétrie inversée'' car y a un changement brusque et complet des opinions de Phèdre, provoquant le rejet d'Oenone. En effet, l'argumentation de la nourrice qui cherche tant bien que mal à l'excuser de sa faiblesse