Discours de Phèdre va être un mélange d'hallucinations et de lucidité car dans un premier temps l'amour que Phèdre ressent pour Hippolyte semble démend et dominant toute sa vie. Mais en réalité cette amour est interdit et maudit des Dieux. Justement le champ lexical des Dieux est repris plusieurs fois dans la scène car ces derniers veulent la punir de cette fautes très grave qu'elles a commise, etre amoureuse de son beau fils. Elle idéalise Hippolyte et va le décrire et le comparer a son maris Thésée (vers 8-9 "il y avait dans ses bras des muscles vigoureux" vers 10-11 "il avait le visage de ta cher Phéobé [...] c'était le tien, plutot"). Mais pour Phédre cette amour semble possible. Pour elle cette amour et monstrueux (vers 53 "odieux amour"), elle veut a tout prix qu'Hippolyte reste à ses coté pour toute la vie et va dans le vers 30 "Moi-meme" et "je" enfermer le "vous" comme si Phèdre voulait enfermer Hippolyte on peut donc dire qu'elle crée un moment d'intimiter imaginaire. Phèdre avoue indirectement son amour pour Hippolyte mais ce-dernier compris rapidement les sentiments que Phèdre éprouve pour lui et va etre choquer (vers 33-34). Phédre va ésseiller de le désillusionner mais en vin. Elle va donc à partir du vers 40,par le passage du "vous" au "tu", déclaré sa flame à Hippolyte. Le discours de Phèdre va être un mélange d'hallucinations et de lucidité car dans un premier temps l'amour que Phèdre ressent pour Hippolyte semble démend et dominer toute sa vie et dans un second temps elle est bien consciente que cet amour est interdit et maudit des Dieux. Justement le champ lexical des Dieux est repris plusieurs fois dans la scène car ces derniers veulent la punir de cette faute très grave qu'elle a commise, être amoureuse de son beau fils. Elle idéalise Hippolyte et va le décrire et le comparer à son mari Thésée (vers 8-9 "il y avait dans ses bras des muscles vigoureux" vers 10-11 "il avait le visage de ta chére Phéobé [...] c'était le tien, plutot"). Mais pour