Phèdre

594 mots 3 pages
’’LE CRI’’
EDVARD MUNCHE
Le cri a été réalisé par Edvard Munch en 1893. Le cri est un tableau peint à l’huile à la tempera et au pastel sur carton de dimension 91X73cm. Il est conservé à Oslo en Norvège dans le National Gallery. Le genre du cri est une Allégorie. Edvard Munch pris gout des représentations morbide qui traite la psychologie humaine le plus sombre et la solitude des êtres. En 1885 il commença à prendre gout à l’impressionnisme et i commença à peindre. Il réalisa le cri en inspirent de quand il se promenait sur un sentier avec des amis. Le soleil se couchait. Tout à coup le ciel devient rouge sang. Il y avait du sang et des langues de feu au-dessus de la bai bleu-noir et la ville. Il sentait un cri infini qui passait à travers l’univers et déchirait la nature.

PREMIER PLAN :
Un pond qui domine la mer comme un spasme, une personne se sert les tempes avec ses deux mains et cri sous un ciel de sang. La personne n’ayant pas de cheveux, les traits fins et le teint pâle. Le personnage semble être déshumanisé par l’artiste. Il est comme s’il était un fantôme, habillé tout en noir et on dirait qu’il flot dans les airs.
DEUXIEME PLAN :
Il y a deux ombres qui s’éloigne, sur le pont qui surplomb une baie, à droite il y a un vertigineux précipice.
DERNIER PLAN :
Nous pouvons distinguer les montagnes d’un bleu-noir par la détachement du ciel rouge sang.
COMPOSITION :
La barrière et le sol du pont forme des lignes convergent vers un point de fuite situé à gauche donnant aussi la profondeur et la perspective du tableau. A droite il y a une large bande verticale qui aide à indiquer le sens de la lecture de ce tableau qui doit se faire de la droite vers la gauche. L’attitude du personnage reste remarquablement intéressent dans cette composition, il est au centre tourné vers le spectateur, nous pouvons voir que c’est comme si le cri était irrémédiablement impliqué, comme si il s’échappait de sa bouche.

LES COULEURS :
L’opposition des couleurs chaudes et

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