1) A
Le point de vue sur la population est, dans les années 70 comme à notre époque, sujet à diverses critères ; Milieux sociaux, tranches d’âges, lieux de résidence. En effet, une éducation conservatrice inculquera plus des valeurs traditionnelles et refusera totalement toute consommation de drogue, tandis qu’un jeune étant issu d’un milieu défavorisé aura plus de chances d’être influencé dans le milieu de l’illégalité.

B) Le cannabis a été un produit classé stupéfiant et son usage a été interdit suite à la loi du 31 décembre 1970 (2ans après le festival). Les dispositions ont été intégrées dans le code pénal et le code de la santé publique. En acheter, en consommer en détenir, en donner, en revendre, en cultiver (chez soi ou en extérieur), en transporter ou conduire après en avoir consommé sont autant d’infractions à la loi passibles de sanctions lourdes devant les tribunaux. Les peines sont doublées quand le cannabis est vendu à des mineurs.
Depuis la loi du 3février 2003, toute personne ayant conduit après usage de toute substance classée comme stupéfiant est passible d’une peine d’emprisonnement de 2ans et de 45000e d’amande. Depuis 2007, comme le préconise le plan gouvernemental de lutte contre les drogues et la toxicomanie 2008-2011, la réponse pénale a l’usage de cannabis est synthétisée et diversifiée avec, notamment, avec la création de stage de sensibilisation aux dangers de l’usage de produits stupéfiants, dont l’objectif est de faire prendre conscience aux condamnés des conséquences dommageables pour la santé humaine et pour la société de l’usage de tel produits.