Préambule intitulé « le cri d’une femme » précédent la DDFC d’Olympe de Gouges Nous allons procédé à l’analyse de l’extrait « Le cri d’une femme » début du préambule initiant « La Déclaration des Droits de la Femme et de la Citoyenne » d’Olympe de Gouges, publié en 1791 pendant la Révolution française. Olympe de Gouges de son vrai nom Marie Gouze est née le 7 mai 1748 à Montauban, était une femme passionnée de littérature, qui fréquentait les salons et participait aux débats avec de grands philosophes. …afficher plus de contenu…

Tes talents ? ». Ces questions lui enlève la suprématie qui n’est pas naturelle. Olympe de Gouges refuse que les hommes applique un pouvoir autoritaire sur les femmes, car ce n’est pas ainsi que « le créateur » . Dans cette première partie, on peut noter qu’Olympe de Gouges fait un appel aux hommes et les invite à s’interroger sur le complexe d’infériorité qu’ils ont provoqué chez la femme et elle montre son indignation face à l’oppression que les femmes subissent. Ensuite, on voit dans cet extrait qu’Olympe de Gouges évoque l’égalité des genres au sain de l’administration naturelle. L’oratrice incite l’homme a étudié l’organisation de la Nature, à la ligne 6 « Remonte aux animaux, consulte les éléments, étudie les végétaux ». Ces impératifs insistent sur les actions d’analyse du milieu naturel qu’elle veux voir …afficher plus de contenu…

A la ligne 8 « cherche, fouille et distingue, si tu le peux » Olympe de gouges utilise la gradation afin d’insuffler la réflexion qu’elle souhaite voir mener par les hommes puis elle met en jeu la capacité des hommes par le « si tu le peux » comme si elle provoquait son auditoire masculin. À la ligne 3 « Observe le créateur dans sa sagesse […] dont tu sembles vouloir te rapprocher » la religion avait une très grande place avant la séparation de l’État et de l’église en 1905, on peut penser que le rapprochement avec la religion a été fait afin d’avoir une influence plus importante sur l’auditoire qui va être mener à requestionner sa foi. C’est ainsi un argument d’autorité, elle se réfère à la sagesse divine en œuvre dans la