-L'artisan de l'ouverture de la démocratie
Lors d'une oraison funèbre prononcée en l'honneur des citoyens morts au combat dans la guerre du Péliponèse, Périclès fait l'éloge de la démocratie.
"Comme les choses ne dépendent non pas du petit nombre mais de la majorité, c'est une démocratie. La loi, elle, fait à tous, pour leurs différends privés, la part égale, tandis que pour les titres, si l'on se distingue en quelque domaine, ce n'est pas l'appartenance à une catégorie, mais le mérite, qui vous fait accéder aux honneur; inversement, la pauvreté n'a pas pour effet qu'un homme pourtant capable de rendre service à l'état, en soit empêché par l'obscurité de sa situation. Une même personne peut à la fois s'occuper de ses affaires et de celles de l'état; et, quand des occupations diverses retiennent des gens divers, ils peuvent pourtant juger des affaires publiques sans rien qui laisse à désirer."

L'embellissement d'Athènes
Périclès est accusé ses ennemies politique à Athènes, d'employer le trésor de la ligue de Délos pour financier l'embellissement d'Athènes et donc son propre prestige.
"Périclès donnant au peuple les explications suivantes : "Vous ne devez aucun compte de ces sommes aux cités alliées, puisque vous faites la guerre pour eux et maintenez les Barbares au loin. Puisque la cités est convenablement équipées pour la guerre, il faut qu'elle emploie ses ressources à des travaux qui lui procureront une gloire éternelle, et durant leur exécution, une prospérité immédiate. On verra en effet apparaître toutes sortes d'activités et de besoin variés qui feront appel à tous les arts et occuperont tout les bras, assurant ainsi un revenus à presque toute la cité." Il proposa au peuple de grands projets de construction, de cette manière, la population aurait le droit de profiter des fonds publics et d'en avoir sa part comme le marins, les hommes de garnison et les soldat de campagne."

3.2. Le « siècle de Périclès »

Cimon ostracisé, Ephialtès, avec le