Le terme de "mondialisation" est apparu au XXème siècle dans le cadre de travaux économiques et géopolitiques pour désigner l'extension des marchés industriels au niveau des blocs géopolitiques et au moment de la Guerre froide.
La mondialisation est l’ensemble des phénomènes et des processus d'ouverture de toutes les économies nationales sur un marché devenu planétaire (commerce triangulaire). Elle est favorisée par l'interdépendance entre les hommes, la déréglementation, la libéralisation des échanges, la délocalisation de l'activité, la fluidité des mouvements financiers, le développement des moyens de transport, de télécommunication. Elle multiplie les liens et les interconnexions entre les Etats-Unis, les entreprises et les sociétés. Ne pas confondre avec la globalisation qui suggère l’universalisation des enjeux, l’avènement d’un monde d’interdépendances économiques, politiques et sociales. Elle pose finalement la question de la mise en œuvre du principe de responsabilité de la communauté internationale. Les deux termes sont souvent utilisés de façon indifférenciée sans que cela engendre des conséquences. Il faut simplement retenir que la mondialisation et la globalisation rendent compte de la transformation, actuellement, du système international, qui se partage entre souveraineté et interdépendance, expression du droit et de la puissance.

La mondialisation est une étape nécessaire pour permettre aux pays du tiers-monde de devenir des pays industrialisés et développés, et ne plus être seulement des exportateurs de matières premières. Le principal acteur de cette mondialisation est la TRIADE, qui regroupe trois puissances mondiale (Etats-Unis, Europe, Japon) et qui contribue aux nombreux flux mondiaux (économique, financier et touristique) entre les différentes nations et qui favorise le développement des pays pauvres.
Au niveau économique, les flux sont majoritairement dominés par le commerce tripolaire entre les pays les plus pauvres qui exportent