Quand on a pas ce que l'on veut, il faut aimer ce que l'on a
Dans la vie d'aujourd'hui, un homme sur deux n'apprécie pas la situation dans laquelle il vit. Autrement dit, peu d'hommes approuvent ce qu'ils possèdent. Si on ne peut pas satisfaire nos désirs, il faudrait apprendre à apprécier ce que l'on a. C'est ce qu'exprimait Roger Rabutain dans le Comte de Bussy : «Quand on n'a pas ce que l'on aime, il faut aimer ce que l'on a. »
Dès lors, cette vision est réductrice, pour être comblé par sa situation, faut- il pas posseder un minimum pour survivre?
Dans notre société, lorsque notre entourage est aisé, nous vivons constamment dans l'envie. Par exemple, un ami qui achète la nouvelle MERCEDES suite à un héritage, son voisin qui travaille très dur le convoitera car il n'est pas à sa hauteur. Cette impossibilité de satisfaire ses désirs peut amener à la frustration. Nous voulons constamment posséder les mêmes biens matériels que les autres. Cette déception peut nous conduire à la dépression. Or, il faut être reconnaissant de vivre sous un toit, et se nourrir à sa faim.
D'autre part, dans les relations familiales, il faut apprendre à renoncer à ses rêves inaccessibles et aimer ce qu'on a.
En effet, beaucoup de parents divorcent suite à des érosions des sentiments. L'enfant qui rêvait de grandir dans une famille unie, voit ses rêves partir en fumée. Cette enfant peut être confrontée à des problèmes psychologiques. Il doit surmonter cette situation, et être ravi d'avoir toujours ses parents en vie.
Ensuite, de plus en plus de jeunes sont mécontents de leur aspect physique. Une personne qui est mal dans sa peau, peut se causer des problèmes de santé. Par exemple, une fille en surpoids qui passe ses journées devant les magazines de mode, elle va désirer ressembler à une mannequin. Elle pourrait par ses envies être confrontés à la boulimie. Il faut donc renoncer à des fausses images illustrées par les médias, et accepter les différences de chacun.