Le roman est un récit plus ou moins long qui a été très vite écrit en prose dès la fin du XIIème siècle. A la différence du conte ou de l’épopée, Le roman doit se lire individuellement. Au fur et à mesure des années, le roman est devenu le genre littéraire dominant dont son domaine fondamental est la curiosité du lecteur pour les péripéties et les personnages. Ainsi, Oscar Wilde aurait dit à propos d’un personnage de Balzac « La mort de Lucien de Rubempré est le plus grand drame de ma vie » cette exagération montre que cet écrivain à dû être très proche de ce personnage. Mais comment peut-on être aussi proche d’un personnage ? Pourquoi nous marquent-ils ? Dans un premier temps nous allons étudier l’écriture du roman, qui peut être humoristique, ou avec du vocabulaire familier mais aussi soutenu. Dans un deuxième temps nous allons voir la personnalité des personnages, s’ils sont drôles, pathétiques, ou qu’ils ont une vie hors du commun qui parfois peut envier le lecteur.

Une écriture humoristique peut faire en sorte que le lecteur tient plus ou moins à un personnage. Prenons comme exemple Zazie dans le métro de Balzac, l’auteur à utilisé une écriture particulière quand il fait parler ses personnages. Il joue avec les sonorités comme « zozées » qui s’écrit « osées », « immbondit dssus » : « il me bondit dessus » ou encore « Hormossessuel » : « homosexuel ». Il y a aussi les insultes de la jeune fille qui fait rire le lecteur et lui apporte donc de l’affection pour le personnage tel que «connarde », « mon cul » ou bien « les salauds ». Dans rencontre sous x de Didier Van Cauwelaert, L’écriture est aussi humoristique mais les termes font parties du domaine de la pornographie, qui bien sûr ce domaine a une grande place dans le secteur du rire dans notre époque actuelle. Par exemple « lécher » « levrette » « encule » « gouine » « gode « etc. Tous ces termes nous pouvons les entendre dans la plupart des blagues d’aujourd’hui. L’écriture humoristique