Quelles sont les politiques en faveur de l'emploi
RSA : Revenu de solidarité active : attribuer pour faciliter un retour à l’emploi, ce n’est pas un revenu d’assistance pure parce qu’il peut être également attribué aux personnes qui travaillent mais dont le revenu d’activité pourrait être inférieur au revenu de l’aide sociale. Le RSA devient désormais également un RMI, c'est-à-dire un revenu d’assistance pour les personnes ne trouvant pas d’activité.
En 2013, le gouvernement a relancé une politique de soutient à l’emploi pour les jeunes de 16 à 25 ans, ce que l’on appelle les emplois d’avenir, le gouvernement s’engageait sur un volume de l’ordre de 150.000 emplois. Le but est de permettre aux jeunes de signer un contrat d’engagement pour avoir non seulement une rémunération mais surtout une formation.
Les rigidités traditionnelles :
Pour les libéraux, il faudrait que les salaires puissent s’ajuster à la baisse ou à la hausse
La critique porte également sur une trop forte assistance sociale
L’intervention est inappropriée dans les négociations.
Les risques du coût du travail trop élevé (c’est à dire supérieur à la productivité du travailleur)
Pour les libéraux, cela va dégrader la rentabilité de l’entreprise et par conséquent celle-ci va substituer du capital au travail coûteux. Ce mécanisme tend à renforcer les inégalités entre les travailleurs non qualifiés peu productifs qui seront exclut du marché et les travailleurs qualifiés.
Remarque : une baisse ou un raisonnement global sur le coût du travail ne suffit pas parce qu’une entreprise qui a besoin de main d’œuvre qualifiée doit bien rémunérer son personnel si elle veut rémunérer et investir. En revanche un coût du travail élevé pour une personne peu productive est à coup sur facteur de non embauche. Ainsi de nombreux pays ont mis en place des politiques d’abaissement du coût du travail ciblées. Par exemple : en France, il y a toujours des exonérations de charges pour les bas salaires ou les