Quels sont les grand principes du classicisme
Selon lui, il faut donc être clair : « Ce que l’on concoit bien s’ennonce clairement » l.4 Aussi, il ne faut rien laisser au hasard, la personification « Les stances avec grâce apprirent à tomber/ Et le vers sur le vers n’osa plus emjamber » l.7-8 montre que les auteurs classiques respectent des règles strictes.
C’est d’ailleurs ce que semble repprocher La Fontaine dans sa fable, Le philosophe Scythe ; ce dernier, « corrigeant partout la Nature » ôte selon l’auteur tout plaisir. On le voit aux oppositions « retranche l’âme/Desirs et Passions, le bon et le mauvais » l.32
La fontaine met donc en garde à travers un parallèle entre les textes et le verger : « Il ôte de chez lui les branches les plus belles/ Il tronque son verger contre toute raison » Le Verger peut être associé ici au talent, à l’imagination des écrivains. L’opposition à la raison est donc interessante puisque c’est un principe des honnêtes Hommes de l’époque, tout comme la modération à laquelle fait appel La Fontaine. Tandis qu’ils parlent du style, Molière quand à lui évôque le fond plutôt que la forme dans la préface de la pièce Le tartuffe avec la toute première phrase : « Le devoir de la comédie étant de corriger les hommes en les divertissant », allusion flagrande au poète Horas « Castigat ridendo mores ».
Selon lui, un auteur classique se doit de denoncer les mœurs de la société «