Question corpus sur les musees
Analysez les moyens employés par les auteurs de ces textes pour remettre en question l’institution qu’est le musée.
Les textes : L’assommoir d’Emile Zola, « Le problème des musées » de Paul Valéry et Musée haut, musée bas de Jean-Michel Ribes traitent tous d’un sujet commun : le musée.
Dans ces trois textes il y a beaucoup de convergences avec le parallélisme : « Encore des tableaux, toujours des tableaux », avec l’expression « Tout finit dans le mur ou dans la vitrine » et « toute la Haute-Egypte ». Ici, les auteurs nous conférents la même idée. Le fait que le musée est innombrable. De plus, les gradations de couleurs dans Zola et Ribes mettent de l’intensité ce qui charge encore plus le musée. Le surplus laisse les visiteurs désemparés. Il est « seul contre tant d’art », le visiteur ne c’est pas comment regarder les œuvres. D’ailleurs il s’intéresse aux copies. Il n’a donc pas conscience de la valeur de celles-ci. Il est même perdu, il cherche ce que l’auteur a voulu démontrer. Mais cela est perçut comme une souffrance : sentiment qui est employé dans le texte 3. Et par « gros mal de tête » dans le texte 1 puis par « la tête rompue » dans le texte 2. Ils font preuve d’ignorance envers les « millier d’heures » dans Valéry puis avec la métaphore : « les yeux en l’air » de Zola. Ainsi que le moment ou la secrétaire appelle le Louvre et dit : « Il ne répond plus ». Il y a beaucoup d’éléments compressés dans le musée que le visiteur ne peut pas tout percevoir. De ce coup, il en ressort avec peu de réponses à ces questions. Il est alors tourmenté.
Comme on a pu le voir le musée rassemble des richesses ce qui plonge le visiteur dans des états d’ignorance et de douleurs alors on va étudier ce qui diverge dans les visions de ces auteurs :
Zola avec la comparaison : « comme le temps est maussade, la compagnie se réfugie au Louvre » fait entendre que les personnes vont au musée puisque il fait mauvais temps. Et par conséquent qu’ils y vont