j'y était le match commença et tout se passé bien au début les deux équipes jouaient et les supporters les encourageaient , la fin du match approché et l'équipe d'Al-Ahly perdait et les supporters commençaient à s'énerver , je me suis dis qu'ici c'était normal qu'il ne fallait pas s'inquiéter mais à quelques secondes du coup de sifflet final, les spectateurs ont envahi la pelouse, les autorités essayaient de séparer tous le monde , en vin . Alors que j'avais réussi à m'échapper et que je voyai des dizaines de personnes par terre surement mort ou seulement bléssés un homme m'a aidé à sortir, c'est indéniablement ce qui m'a sauvé, mais quand il m'a laissé il m'a regardé et m'a dit " Il me semblait bien que les hopitaux commençaient à être vide " cet personne était tou de même étranege, le bilan a été terrible soixante treize morts et des centaines de blessés, on se dit alors que les problèmes de l'Egypte était loin d'être terminé. Abasourdi par la cruauté de ce monde qui semblait si beau, je repartis en longeant la mer Méditerannée vers l'Ouest, vers la Libye, je savais bien que ce voyage ne serait pas de tout repos, car tous le monde savait que les habitants lybiens étaient entrain de se soulever contre le régime en place et surtout contre Kadhafi, grand dictateut lybien depuis des dizaines d'années, mais le peuple voulait avoir le droit de parole, le droit de vote, comme en Europe. Il y avait des émeutes sanguinaires et on voyait bien que l'actuel chef de l'Etat commençait à douter et à avoir peur. Un homme me dit un jour " Ce sois disant grand dictateur et petit finalement nous l'aurons " , et c'est ce qu'il se passa, un jour alors qu'il essayait de s'enfuir, des rebelles l'intercepta et le frappa jusqu'au sang puis un homme l'a achevé d'une balle dans la tête. Les lybiens étaient soulagé, mais ce printemps arabe aura fait beaucoup de mal à l'Afrique et en quittant ce pays j'espérais qu'il obtientront ce qu'ils voulaient, la liberté. Je repartis donc vers l'Est et