Réflexion personnelle 2 Si on voulait passer une loi au Québec qui interdit de fumer dans les parcs, peut-on dire qu’il y ait un problème éthique? Tout d’abord, on doit débuter par quelques étapes d’un outil vu en classe afin de savoir s’il y a présence d’un dilemme éthique. La première étape de cet outil est la classification des différentes valeurs soient celle personnelle, professionnelle, institutionnelle et communautaire. Bien sûr, il y a un conflit de valeur possible lors de la sélection de ceux-ci. La deuxième étape de cet outil est les différents repères éthiques et légaux qui est divisé en deux catégories soient les normes légales et les normes morales. Concernant, les normes légales, le Code civil reconnaît l’autodétermination, c’est-à-dire le consentement libre et éclairé des individus ainsi que la loi canadienne qui indique qu’on ne peut discriminer les individus selon leur caractéristique intrinsèque. Concernant, les normes morales, le code de déontologie sur les bonnes pratiques cliniques est présent. La dernière étape de cet outil est la procédure de résolution de problèmes et des dilemmes qui est considérée …afficher plus de contenu…

Cette étape comprend le respect de l’autonomie de la personne en recevant le consentement libre et éclairé. Pour recevoir ce consentement, nous devons intégrer le groupe cible dans le processus décisionnel afin d’avoir le respect de la communauté. C’est-à-dire que plus on intègre rapidement le groupe dans la décision, meilleur sera le respect de ceux-ci. Cette étape comprend aussi le principe de la non-malfaisance qui est l’évaluation des torts que peut apporter le problème soulevé. On retrouve également dans cette étape le principe de bienfaisance qui permet l’évaluation des bénéfices par rapport aux torts. Les bénéfices escomptés doivent avoir été évalués comme étant nettement supérieurs aux risques pour qu’une intervention soit considérée