Résumé Madame de Sévigné
Lettre à Pomponne.
À Paris, mardi 9 décembre 1664.
Mme de Sévigné résume à son ami Arnauld de Pomponne la suite du procès de Foucquet, procès ai cours duquel M. Foucquet se défendit rudement bien. Elle annonce à son ami que l'affaire va être récapituler par M. d'Ormesson et un autre rapport, qui lui est hostile à Foucquet.
À Paris, mercredi 10 décembre 1664.
M. d'Ormesson a récapitulé le procès avec brio malgré le fait que le juge Pussort, très hostile à Foucquet, ai été résolu à l'empêcher de si bien faire.
Lettre à Mme de Grignan.
À Paris, lundi 20 juin 1672.
Mme de Sévigné y résume sa douleur face à la maladie qu'a traversé sa fille, et au fait qu'elle ne pouvait pas être présente à son chevet, mais aussi face au fait que son fils soit parti à la guerre. Elle y décrit son affliction face à la mort de certains de ses amis ou connaissances mais également le moral des ses amies et de la ville de Paris en général, tous étant affectés par la guerre en Hollande. Cette lettre traduit le grand désespoir de tous. Elle annonce également la mort du comte du Plessis en Hollande.
Lettre à Coulanges.
À Paris, lundi 15 décembre 1670.
Par cette lettre, Mme de Sévigné annonce à son cousin Philippe-Emmanuel de Coulanges le mariage de M. de Lauzun avec Anne-Marie-Louise d'Orléans, duchesse de Montpensier, dite « la Grande Mademoiselle », mariage qui aura lieu au Louvre, le dimanche de cette semaine. À travers cette lettre, elle exprime également sa grande excitation face à cette nouvelle.
Lettre à Mme de Grignan.
À Paris, ce dimanche 26 avril 1671.
Dans cette lettre, elle décrit à sa fille les circonstances de la mort de Vatel, maître d'hôtel au service de Foucquet puis à celui du prince de Condé. Vatel, pensant que son repas était trop médiocre pour le Roi et voyant les catastrophes s'enchainer préféra se donner la mort plutôt qu'affronter une quelconque humiliation face à sa Majesté.
Lettre à Pomponne.
À